Pour Jacques Percebois, Professeur émérite à l’Université de Montpellier, fermer de façon prématurée des centrales qui fonctionnent et sont largement amorties serait une hérésie économique. Depuis l’accident de Fukushima en 2011, l’opinion publique française reste majoritairement favorable au nucléaire mais la confiance dans cette source d’énergie s’est un peu émoussée au fil du temps. Certes, chacun en convient : grâce au
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