Peu nient encore l’origine anthropique du dérèglement climatique. Pourtant, les politiques procrastinent et chacun de nous, au mieux regarde ses chaussures, au pire cherche un bouc émissaire : État et gouvernants, industriels et voisins insoucieux. En dépit du fameux mea culpa de J. Chirac « La maison brûle et nous regardons ailleurs », prononcé au « Sommet de la Terre » de Johannesburg,
...