Castex lance deux premiers projets de parcs éoliens flottants en Méditerranée

Jean Castex a lancé lundi deux appels d’offres pour construire à l’horizon 2030 deux parcs éoliens flottants en mer Méditerranée, qui pourraient alors alimenter en électricité un million de personnes, suivant l’objectif fixé par Emmanuel Macron de 50 parcs d’ici à 2050.

Un parc sera implanté à une vingtaine de kilomètres au large de Port-la-Nouvelle (Aude), où s’est rendu lundi le Premier ministre avec Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique.

Un autre devrait voir le jour également à une vingtaine de kilomètres de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), « sous réserve des résultats des dernières études environnementales », a précisé M. Castex.

Selon ces appels d’offres, qui seront attribués en 2023, chaque ensemble comprendra une vingtaine d’éoliennes, pour une production de 250 mégawatts (MW) chacun. Et « chaque parc pourra être étendu dans un deuxième temps pour atteindre 750 mégawatts et couvrir 10% de la consommation des régions Occitanie et PACA », a ajouté le Premier ministre.

Ces parcs constituent une première en Méditerranée alors que sept projets sont dans les tuyaux, à des degrés divers d’avancement, en Atlantique ou en mer du Nord. Un tout premier parc, face à Saint-Nazaire, doit commencer à produire mi-mai, pour une mise en service générale fin 2022, 10 ans après son attribution au consortium EDF-Enbridge, et plus de 30 ans après l’ouverture d’un premier parc au Danemark.

Accusant dans l’éolien en mer un retard certain par rapport à ses voisins, la France veut accélérer, avec l’objectif de « construire 50 parcs éoliens en mer d’ici à 2050 », soit 40 gigawatts (GW) de capacités totales, a rappelé M. Castex, ce qui devrait représenter « 20% de la consommation d’électricité en France ».

Pour tenir cet objectif, le gouvernement a aussi annoncé lundi l’attribution de 2 GW de projets chaque année à partir de 2024. Ce qui ferait de l’éolien offshore « la deuxième source d’électricité en France après le nucléaire », selon M. Castex.

La technologie flottante, encore immature, n’a encore jamais été utilisée pour un parc commercial en France. Mais un premier appel d’offre a déjà été lancé en 2021 pour un parc en Bretagne.

Le flottant constitue une « très grande force » car il « peut être installé loin des côtes, lorsque les fonds sont profonds », comme en Méditerranée, a fait valoir le Premier ministre.

M. Castex a souhaité que la France devienne « une nation clé » pour cette technique, en structurant toute une filière pour construire les « flotteurs » des éoliennes. Deux appels à manifestation d’intérêt, dotés au total de 300 millions d’euros, seront lancés en mars auprès des ports et des industriels, a indiqué M. Castex.

commentaires

COMMENTAIRES

  • Castex a un problème avec l’arithmétique. 40 GW de puissance installée avec 50 parcs ça nous fait des parcs de 800 MW pas de 250 MW ni même de 750 MW. Finalement je ne suis pas certain que les politiciens sachent bien ce qu’ils font ni même ce qu’ils disent dans le domaine de l’économie énergétique.

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  • « Jean Castex a lancé lundi deux appels d’offres pour construire à l’horizon 2030 deux parcs éoliens flottants en mer Méditerranée, qui pourraient alors alimenter en électricité un million de personnes »
    Dès la première ligne, ça tique.
    La question est :
    « Alimenter en électricité un million de personnes » lorsqu’il y a un bon vent, ou en permanence ???
    On considère ici comme équivalentes l’électricité fournie par des éoliennes, intermittentes, et celle fournie par des sources pilotables, centrales à gaz ou à charbon, centrales nucléaires.
    Or, c’est comparer des choux et des carottes. On éclaire la maison, fait tourner le frigidaire et démarrer le train les jours avec vent.
    Lorsque le vent sera trop faible pour avoir une bonne puissance des éoliennes, c’est à dire la majorité du temps, on devra démarrer ces centrales de substitution, qui seront en général, hélas, des centrales à gaz, pour alimenter le million de personnes dont on parle.
    En clair, pour le France, et pour alimenter notre réseau électrique de façon fiable, ces éoliennes ne sont d’aucune utilité.

    En réalité, il faut considérer ce projet avec le bon bout de la lorgnette.
    On installe des centrales à gaz, et en parallèle des éoliennes.
    En temps normal, on utilise les centrales à gaz.
    Et lorsque le vent souffle bien, on ralentit les centrales à gaz et on démarre les éoliennes, ce qui économise un peu de CO2.

    Mais dire que, pour alimenter notre réseau, les éoliennes seules suffisent et sont écologiques est une ânerie dangereuse pour le climat.

    A lire : « De l’avenir du nucléaire et des renouvelables pour l’alimentation de notre réseau électrique »
    https://1drv.ms/b/s!Aoz2RZetULwc5V27DKx2bDiS83mw?e=VUwBoL

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    • « Dès la première ligne, ça tique.
      La question est :
      « Alimenter en électricité un million de personnes » lorsqu’il y a un bon vent, ou en permanence ??? »

      En Méditerranée ! Enfin, presque, au large de Leucate justement c’est 99% du temps ! C’est pour cette raison que s’y tient Le Mondial du vent chaque année, et jamais il n’a été besoin de mettrte des ventilateurs pour remplacer la nature comme on le fait avec des canons à neige pour les jeux Olympiques d’hiver !
      Et si Gueret, au lieu de raconter toujours les mêmes sornettes, prenait le temps comme moi de renever la carte des vents de météoFrance tous les jours pour s’en faire un fichier sur plusieurs années il s’appercevrait qu’il y a du vent et un vent supérieur à 15 KM/h pratiquement sur toutes les cotes au moins la moitié du temps et qu’il y a quelques spots où c’est 360 jours par an. Mais pour Gueret il vaut mieux laisser parler ses conviction… l’anti-scientifique par excelence, aucune expérience, aucune observation, rien que du raisonnement construit sur une conviction dogmatique.
      si les URL de sites scientifiques (ou même les autres ) ne faisait pas disparaitre le message par la censure, je lui communiquerais bien de quoi construire les connaissances dont il a grandement besoin.

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      • Monsieur Rochain.
        Permettez-moi en premier lieu de vous féliciter pour vos progrès, jusqu’à ces derniers temps, vous vous laissiez aller à traiter de cons ceux qui vous contredisaient. Continuez, vous êtes sur la bonne voie.
        Par contre, lorsque vous dites  » je lui communiquerais bien de quoi construire les connaissances dont il a grandement besoin », vous avez encore des progrès à faire pour la modestie. C’est vrai, vous êtes pardonnable, on sait bien que cela vient de votre côté autodidacte. Côté fort noble en soi.
        Pour les faits, vous me semblez très optimiste. Un bon vent 99% du temps du bon vent du côté de Leucate me semble délibérément optimiste, surtout si vous prenez en compte le fait que la puissance d’une éolienne variant comme le cube de la vitesse du vent, il faut des vents d’au moins 30 km/h pour disposer d’une puissance électrique intéressante.
        Il se trouve que j’habite Toulon et navigues régulièrement à la voile entre, disons, Barcelone et la Corse, et ce n’est pas le sentiment que j’ai. À mon avis, vous vous mélangez les pinceaux dans vos tableaux.
        En fait, je ne sais pourquoi vous vous fatiguez ainsi, les données sont disponibles sur le Net.
        Personnellement, comme tous les amateurs de voile, j’utilise les « Pilot Charts » des marins, qui donnent une excellente vue d’ensemble. Vous les trouverez ici :
        https://www.meteo-marine.com/consulter/pilot-charts/
        Et un exemple, le mois d’août :
        https://msi.nga.mil/api/publications/download?key=16693989/SFH00000/106aug.pdf&type=view
        On y voit que, entre octobre et avril, les jours de « calmes » (en clair, pas plus de vent pour faire avancer un voilier que pour tirer une puissance non ridicule d’une éolienne), les jours de calmes sont autours de 7 par mois.
        Et entre mai et septembre, les jours de « calmes » sont entre 12 et 14 par mois.
        Ce qui est bien compatible avec un taux de charge vers 40%.
        Bien entendu, les éoliennes sont prévues dans l’axe de la Tramontane pour la première, du Mistral de l’autre, pour maximiser l’énergie fournie sur l’année, sans changer fondamentalement les choses.
        J’ai même là un petit doute, car par temps de ces vents forts, les éoliennes sont sur leur plateau de puissance (qui commence en général vers 40 km/h, ce qui fait que la grande vitesse de vent n’augmente pas la puissance. Voir conduit à l’arrêt de sécurité.

        Pour conclure, lorsque je lis que « Jean Castex a lancé lundi deux appels d’offres pour construire à l’horizon 2030 deux parcs éoliens flottants en mer Méditerranée, qui pourraient alors alimenter en électricité un million de personnes », il considère équivalentes une source pilotable (comme une centrale à gaz ou un réacteur nucléaire) et une source intermittente, l’éolien.
        On voit bien la différence. Avec les éoliennes, ce million de personnes feraient cuire le repas, chauffer la maison, alimenter le frigidaire, lorsqu’il y a du vent. Et n’iraient à la gare prendre le train que les jours favorables.
        Ou alors, les jours de météo défavorables, on lance les centrales pilotables, à gaz par exemple, pour que la vie continue.
        Et on revient sur les bases, que j’expliquais plus haut.
        Cordialement.

        P.S. Si vous voulez « construire les connaissances dont vous avez grandement besoin », je vous conseille de lire ce court essai qui devrait vous éclairer :
        https://1drv.ms/b/s!Aoz2RZetULwc5V27DKx2bDiS83mw?e=NGpcSf

        Répondre
        • Je n’ai jamais traité de con que les gens qui m’insultaient.
          Quand a votre remarque sur mon manque de modestie c’est l’hôpital qui se moque. de l’infirmerie car quand on se pretend physicien sans voir le rapporte entre la physique classique de Newton et les lois de Kepler, ça fait rire… Je ne crois pas qu’il soit opportun de vous proposer un cours de physique quantique pour vous faire progresser… Je propose l’étage du dessous que je tiens à votre disposition.

          Répondre
    • 🤣et encore une fois de plus les inepties pour gogos sur des centrales au gaz qui n’existe que dans l’imagination délirante des irradies du bulbe 🤣🤣 le bon vieux troll d’Hervé Guéret qui faute de connaitre les bases du sujet s’enfonce toujours dans le ridicule en ânonnant stupidement tous les vieux canulars périmes pour gogos qu’il a gobe car il n’a aucune personnalité pour vérifier les faits et ouvrir enfin les yeux sur ce qui se passe réellement sur le terrain 🤣🤣 car si certaines ENR sont prévisibles d’autres sont beaucoup plus pilotables que notre nucléaire qui est de plus en plus intermittent et qui nous oblige à faire démarrer nos centrales thermiques déjà en place pour justement pallier aux défaillances du nucléaire 🤣🤣 il est bien urgent de développer toutes les ENR pour se sortir enfin du fissible et du fossile ..l’éolien et le solaire n’étant qu’une partie des ENR pour produire enfin propre sans dangers et sans déchets pour moins cher que notre merde polluante de nucléaire qui fait des ravages sur la faune, la flore et l’être humain… ENR qui nous sortent aussi du fossile / charbon / pétrole … ENR qui battent des records de production partout ou elles commencent à être installées en faisant baisser la pollution et le Co² et en produisant proprement, sans dangers et sans déchets pour beaucoup moins cher que le nucléaire / arenh polluant à tous les stades … on avance mais toujours pas assez vite vu l’urgence de la situation et la ce n’est que pour l’électricité : https://www.euractiv.fr/section/energie/news/renewables-overtake-fossil-fuels-in-eu-power-generation/

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  • @ Serge Rochain

    Ce qu’on voit surtout venir sans que personne n’ose réellement le dire, c’est qu’effectivement en l’absence de stockage issu de la production des renouvelables celui ci se fera à l’aide du gaz (ce que je ne crois pas du tout parce qu’on peut faire autrement !) Parce que l’économie contraint les acteurs économiques à une véritable concurrence des coûts entre nucléaire et éolien. Et là il n’y a pas photo ! Les renouvelables sont seules à proposer un avenir sans risque ! Qu’il soit sur nos approvisionnements comme on le constate aujourd’hui pour un peu tout ce dont on a besoin, ou au niveau de la sécurité des installations productives et de ses productions de nuisances apparentes ou dissimulées.

    Répondre
    • Du gaz, oui mais du biogaz et gaz de synthèse dont la potentialité est énorme et presque totalement inexploitées. Le stockage ne serra pas si neccessaire que ce que vous semblez croire. D’abord le suréquipement nécessaire pour bénéficier du foisonnement ou chaque zone du territoire peut être conduite non seulement à se fournir elle-même mais à en alimenter une autre, réduira considérablement le besoin de sources pilotables de remplacement. Le biogaz permettrait même de se passer des besoins de stocker les excedents s’il ne fallait pas multiplier par 2 à 3 la production électrique dans les 30 ans à venir.

      Répondre
        • Bien sur on ne peut pas démolir ce qui n’est pas femoliss1ble… Là bioénergie est la plus importante des sources renouvelables dans le monde, loin devant l’hydraulique qui a elle seule écrasé le nucléaire !
          Votre ignorance vous conduit à des abbérations comme celle ci.
          Je ferais le même raisonnement stupide en vous disant que le nucléaire est incapable de fournir l’électricité dont a besoin une seule ville comme Narbonne au prétexte qu’un réacteur seul n’y suffit pas !

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  • On nous parle de « terres rares » pour les éoliennes offshore, mais quel élément rare serait indispensable pour construire un moulin à vent avec une dynamo, et pourquoi ?

    Répondre
    • En effet, ce n’est pas une nécessité mais un gros avantage. La puissance que l’on peut obtenir d’un alternateur dépend entre autres parametres du niveau de saturation magnétique des stators et rotors. Le plus courant est d’utiliser l’acier pas très cher, facile à obtenir, et abondant. Mais n’importe quel métal ferromagnétique peut convenir, cependant il n’ont pas tous la même capacité à se saturer dans un champ magnétique, et pour le même niveau de saturation certains d’entre eux comme le néodyme peuve se contenter d’une masse beaucoup plus réduite aussi on utilise des moyens termes en faisant des alliages bien dosés dans un rapport performance/coût . C’est terres rares ne sont pas rares mais plus difficiles à obtenir car on ne les trouve que dans des alliages naturels fait de plusieurs terres rares qui sont des voisines dans leur construction atomique ce qui ne permet pas de les dissocier facilement et ce qui est aussi la raison pour laquelle on les appelle ainsi. Ne sachant les discocier les chimistes les assimilaient à un seul corps simple d’une composition isotopique pas très bien indéfinie jusqu’au jour où la technique a permi de les dissocier ce qui fut tardif dans l’histoire et, apparus tardivement on les a cru rares alors qu’elles font partie pour la plupart de la moitié des corps chimiques les plus abondants.
      Maintenant on les utilise déjà depuis longtemps quand on a besoin de petits moteurs puissant comme dans l’aeromédelisme, les moteurs d’essuis glace ou de lève vitre dans les portieres de voitures qui sont difficile à cacher, plus ils sont petits plus c’est facile. On comprend l’interet pour les éoliennes en mer dont on a intéret à mettre le centre de gravité le plus bas possible pour maximiser la stabilité en diminuant la masse utile en haut du mat. Indispensables ? NON, bien utiles OUI OUI sans aucun doute !

      Répondre
    • Les terres dites « rares » ne sont utilisées que dans les éoliennes en mer, à part quelques exceptions pour les terrestres.

      Avec les progrès technologiques, la quantité utilisée par MW de puissance diminue au fil des années (comme le silicium par Wc pour le photovoltaïque).

      Par ailleurs, deux technologies au stade pré-industriel permettent de se passer des « terres rares » en cas de besoin.

      En 2021, la production mondiale de terres rares a été de 280.000 tonnes (126.000 t en 2016). Les réserves sont de 120 millions de tonnes et les ressources sont encore plus importantes.

      La part de la Chine dans la production mondiale a fortement diminué depuis dix ans.

      Terres rares que l’on retrouve dans les ordinateurs, téléphones portables, téléviseurs, pots catalytiques, raffinage du pétrole, verres et céramiques ….

      Répondre
  • Que le stockage soit le fait du bio gaz ou d’une autre technologie, il apporte ses contraintes productives qui ne doivent pas faire perdre le bénéfices d’une production indépendante et économique , capable d’assurer tous les besoins de la consommation.

    Répondre
    • Je n’assimile pas le biogaz à du stockage car il est créé dans une forme elle même « stockable ».
      Par opposition ou une énergie est sous forme électrique comme le produit d’une éolienne ou d’un ppv et que l’on doit transformer dans une forme qui la rend stockable. C’est à dire quand le but de la transformation n’a que le seul but de la rendre stockable.

      Répondre
      • Serge Rochain 15.03.2022
        « Je n’assimile pas le biogaz à du stockage car il est créé dans une forme elle même « stockable ».

        Sans doute mais pour utiliser le gaz, qu’il soit bio ou pas, nécessite une machine qui utilisera le produit (sous forme de stock quel que soit l’endroit ou il se trouve) pour le rendre compatible avec le besoin qu’on souhaite en faire ?

        « Par opposition ou une énergie est sous forme électrique comme le produit d’une éolienne ou d’un ppv et que l’on doit transformer dans une forme qui la rend stockable. C’est à dire quand le but de la transformation n’a que le seul but de la rendre stockable. »

        Bah d’abord sans stock vous ne pouvez pas piloter les besoins ! Car à un moment vous produirez trop ce qui vous oblige à réduire votre production donc à produire à perte, en plus d’user votre matériel sans pouvoir l’amortir ? Et à d’autres moment vous ne produisez plus assez ? Vous devez donc faire appel à des outils complémentaires comme le charbon , le pétrole ou le gaz ? Ce qui rajoute des coûts à vos propres coûts ? Et si vous voulez mettre plus de moyens productifs en relation (ce qu’on appelle le foisonnement) vous devez augmenter les interconnections par câbles et les systèmes de surveillance et régulation électroniques. Ce qui encore une fois rajoute des coûts sur l’ensemble du système sans que celui ci soit forcément capable d’assumer régulation et constance ? En plus d’occasionner de nombreuses pertes pour écrêter le « trop pleins « .
        D’ ou mes proposition de stockage, en faveur de l’électricité qui permet toutes les transformations afin de rendre la production facilement pilotable, facilement transportable par le réseau , pouvant garantir une production autonome sans risque, en répartissant suivant les besoins: Production et recharge, stockage et production
        Avec des implantations pouvant être dissociées .Puisqu’un câble d’alimentation suffit pour alimenter un stocks n’importe ou sur n’importe quel territoire. Donc une économie de transport et de transformation.
        Avec des outils de stockage permettant également de réduire le nombre d’éoliennes, pour le faire correspondre aux capacités de couverture des besoins et de réapprovisionnement . Nous évitant ainsi d’avoir à aller chercher ailleurs ce que nous avons sous la main. Parce que creuser, transporter , transformer , distribuer, c’est déjà d’énormes quantités d’électricité consommée rien que pour obtenir des stocks qu’on achète à d’autres
        Alors qu’en fin de compte avec les Enr nous possédons tout ce qui nous est utile pour produire notre propre énergie en totale autonomie et indépendance.

        Répondre
        • Bien sur que si, la notion de pilotage n’est pas lier nécessairement à celle de stock. Mais surtout à la possibilité d’interrompre tout ou partie d’une énergie produite en continu.
          En cela un stocke est simplement le cas particulier ou c’est une énergie sous forme potentielle que l’on peut libérer à convenance. Mais par exemple des turbines sur une rivière au fil de l’eau peuvent être connectées ou déconnectées du réseau à convenance sans que le flux continu d’une rivière puisse être considéré come un stocké car je ne peut pas stockrr l’énergie cinétique qu’elle représente quand je n’en n’ai pas besoin pour l’utiliser plus tard, ce n’est pas comme un barrage que j’aurais construit pour faire un stock, mais elle est pilotable de la même façon.

          Répondre
          • Serge Rochain
            Bien sur que si, la notion de pilotage n’est pas lier nécessairement à celle de stock. Mais surtout à la possibilité d’interrompre tout ou partie d’une énergie produite en continu.

            Difficile de s’accorder sans faire des efforts de compréhension réciproques ? Parce que même si nous parlons tous les deux de stockage, nous ne visons pas les mêmes objectifs ? Ce qui m’incite à vous poser la question du « pourquoi interrompre votre production alors que vous avez la possibilité de produire ce que d’un autre côté on manque ? Parce que c’est bien pour ça que nos gouvernants justifient la hausse du coût de l’énergie .l Sans compter qu’en produisant plus vous amortissez plus vite votre investissement ?

            « En cela un stocke est simplement le cas particulier ou c’est une énergie sous forme potentielle que l’on peut libérer à convenance.  »

            Tout à fait d’accord avec cette remarque !
            Sauf que l’énergie potentielle qu’elle soit issue du pétrole , du gaz , du charbon, du bois ,de la biomasse ,des déchets, ou de l’uranium, ne nous tombe pas du ciel ! Comme celle des Enr ou celle des barrages. Mais demande de nombreuses étapes de transformation (extraction , transport , transformations , distribution etc..) qui consomment toutes une grande part d’ ‘énergie, sous forme électrique et autres, Alors qu’utiliser l’électricité gratuite des Enr pour constituer des stocks ne coûterait que l’investissement dans l’infrastructure de stockage . C’est déjà ce que certains ont compris en investissant dans la production d’air comprimé. .
            https://forex.quebec/goldman-sachs-investit-250-millions-usd-dans-une-entreprise-canadienne/

            Mais par exemple des turbines sur une rivière au fil de l’eau peuvent être connectées ou déconnectées du réseau à convenance sans que le flux continu d’une rivière puisse être considéré come un stocké car je ne peut pas stockrr l’énergie cinétique qu’elle représente quand je n’en n’ai pas besoin pour l’utiliser plus tard, ce n’est pas comme un barrage que j’aurais construit pour faire un stock, mais elle est pilotable de la même façon.

            C’est vrai qu’on peut déconnecter les systèmes productifs mais dans la mesure ou ils ne polluent pas en produisant et ou l’on souhaite sortir des fossiles avec l’hydrogène, c’est quand même pas comme ça qu’on y arrivera !

          • Si j’interrompe le Rabin et de la citerne de biogaz car le Soleil apparaît ou que le vent se met à souffler, j’économise mon renouvelable pilotable, c’est tout.

  • Quant deux ignorants du sujet parlent pour ne rien dire, l’un astronome, l’autre « spécialiste » des réacteurs RNR, on a évidemment du bavardage sans intérêt.

    S’il est question de développer 40 GW d’éolien en mer, répartis en 50 parcs, d’ici 2050, les parcs seront de technologies différentes (posé et flottant) et de capacités différentes (de 250 MW à 1.000 MW ou un peu plus).

    Pourtant, s’il lit le journal local, le premier devrait être au courant des trois éoliennes flottantes expérimentales de 10 MW d’EFGL dont la construction va bientôt commencer pas très loin de chez lui.

    Le second peut-il nous dire combien de personnes alimentent les réacteurs nucléaires Chooz-1 et -2, Civaux-1 et -2 et Penly-1 depuis deux mois ?

    Et combien le nucléaire va alimenter de personnes en 2022 avec une production de seulement 295 à 315 TWh ?

    Répondre
    • Croyez vous que je ne suis pas déjà informé depuis plusieurs mois des différents projets du côté de chez moi comme celui de Gruissan Par exemple ?
      Par ailleurs si l’article parle de 50 parcs il ne parle que de parcs de 250 MW être étendu à 750 et pas d’autre chose !
      Seriez vous ignorante de la science de la lecture ?

      Répondre
  • C’est promis. Tout le monde ici est disposé à le promettre et ne trahira pas le secret.

    Puisqu’un principe ne peut pas être breveté et que même un brevet général ne suffit pas pour connaître tous les détails, le prétendu « inventeur indépendant » peut-il nous dire :

    – quel est le principe physique de son « invention » ?

    – quelle est la forme de l’énergie stockée (électricité ou autre) ?

    Répondre
    • La meilleure façon de ne pas trahir un secret c’est de s’assurer de la discrétion de ses solliciteurs quémandeurs .
      Quand deux ignorants parlent pour ne rien dire ,personne n’a d’intérêt les empêcher de poursuivre ?
      L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.” .

      Répondre
        • Et tout le monde aura aussi compris qu’il s’agit d’un prêté pour un rendu. Je suis très a cheval sur les principes, on conseille un ami on ne cherche pas à le dévaloriser.

          Répondre
  • Abimer la méditerranée avec ces moulins à vents qui auront tôt fait de rouiller.
    Qu’est-ce qu’il fout la dedans le Fernandel castex, il est en service commandé de l’ado immature ou il veut sauver la pompili. Je crains que les amoureux de la méditerranée vont se battre et c’est pas fini !

    Répondre
    • Vous semblez nombreux ici à. Découvrir a l’occasion de la visite de Cadtec, les projets d’eolien en mer Méditerranée ??? Ici on en parle depuis cinq ans et on transforme profondément le port de Port la Nouvelle depuis plus d’un an en créant de nouvelles jetée d’où partiront les modules remorqués jusqu’à leur lieu d’ancrage. Le Golf du Lion est le lieu le plus venté de France et il serait stupide de se priver de cette ressource !

      Répondre
    • Michel DUBUS au lieu de vous ridiculiser constamment constatez les retours bénéfiques de tous les pays qui sont déjà très très en avance que nous sur le sujet alors que la France s’enfonce toujours plus dans la dépendance , la pollution et la production de déchets ultimes …

      Répondre
  • Les curieux sont toujours dupes de leur curiosité. Ils expliquent tout et ne comprennent rien.(Georges Bernanos)
    Peu importe le dialogue ou le monologue, les gens ne comprennent et ne saisissent que ce qui fait leur affaire.(Henri Lafrance)

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