Les cours de l’électricité à de nouveaux sommets après l’arrêt de réacteurs nucléaires
Les cours de l’électricité pour la France atteignaient de nouveaux sommets vendredi sur les marchés, après l’annonce d’un arrêt de plusieurs réacteurs nucléaires par EDF.
Les cours de l’électricité pour livraison l’an prochain en France s’approchaient des 300 euros le mégawattheure sur le marché de gros, atteignant 294 euros dans la matinée.
« Les problèmes rencontrés sur certaines centrales nucléaires françaises et la faible disponibilité attendue ces prochaines semaines ou même ces prochains mois ont soutenu les cours à terme en France », a expliqué à l’AFP Eligio Mariño, du cabinet spécialisé AleaSoft.
EDF avait annoncé mercredi soir avoir décidé d’arrêter les deux réacteurs de Chooz (Ardennes) « par mesure de précaution » et de prolonger l’arrêt des deux réacteurs de la centrale de Civaux (Vienne), après la détection de défauts à proximité de soudures des tuyauteries d’un circuit de sécurité de celle-ci.
Avant cette annonce, les cours de l’électricité étaient déjà orientés à la hausse depuis des semaines, tirés par la flambée de ceux du gaz, mais aussi des quotas de CO2 sur les marchés du carbone, où les entreprises achètent et revendent des « droits à polluer » alloués en nombre limité par les autorités.
La barre des 100 euros en France avait été franchie pour la première fois au mois de septembre et les prix n’ont cessé de grimper depuis.
Si les particuliers et les petites entreprises sont protégés par la limitation de la hausse à 4% du tarif réglementé de vente (TRV) l’an prochain, décidée par le gouvernement, les industriels sont inquiets malgré d’autres mesures qui leur sont destinées.
Le Comité de liaison des entreprises consommatrices d’électricité (CLEEE) a ainsi appelé « les pouvoirs publics à suspendre immédiatement les cotations sur les marchés à terme et à mettre en place en urgence un prix administré, en attendant le retour à un contexte de marché plus stable ».
Des industriels devront sinon décider d' »arrêt des chaînes de production, ou, quand ils le peuvent, de délocalisation », alerte ce comité, qui regroupe une quarantaine d’entreprises françaises.
COMMENTAIRES
Le nucléaire non pilotable va nous couter une fortune …. les étrangers vont bien rire de la supériorité de notre nucléaire
Notre nucléaire a fait mieux cette année les 10 premiers mois (300 TWh) que l’année dernière, les 10 premiers mois. (270 TWh) et moins de thermique fossile. Cela va les épater alors que les productions ENR sont en baisse un peu partout.
Alors Cochelin, on continue à se regarder le nombril ?
Oui, Rochain, ils doivent bien rigoler de voir que, à la suite de pressions politicardes des écolos, et de personnes pro sociétés gazières comme vous, on a pris beaucoup de retard dans la construction d’une cinquantaine de centrales nucléaires.
Heureusement, notre président a commencé à comprendre, et une partie des candidats à la présidentielle aussi.
On parle même de relancer Astrid. Enfin des actions logiques.
Heureusement que nous avons des éoliennes pilotables !https://www.revolution-energetique.com/dossiers/pourquoi-une-eolienne-ne-produit-pas-lors-dune-tempete/
Pire que ça, si je lis bien ce sont les meteors qui les mettent à l’arrêt.
C’est bien pire que les réacteurs nucléaires qui sont immobilisés justement parce qu’ils sont pilotables et en ont abusé.
Oui, Rochain, qu’ils sont pilotables et en ont abusé, sur ordre du gouvernement, pour servir de back-up aux éoliennes et panneaux PV pour les nuits sans vent.
Stupide. Nos centrales nucléaires sont faites pour suivre les variations de consommation, pas des éoliennes qui ne servent, en plus, à rien.
Les météores ? A moins qu’il ne s’agisse que de cela : https://www.meteor-energie.fr/photovoltaique/
Cette entreprise utilise des PPV blindés, à l’épreuve des chutes de météorites certainement
Mais « météores » n’a rien à voir avec « météorites ». Le terme « météores » signifie, étymologiquement, « divers phénomènes se produisant dans l’atmosphère ».
Ca c’est la meilleure…. Cochelin qui veut m’apprendre ce qu’est un météor !!!
Non Cochelin, météor est associé à météorite. Ce qui les différencie est assez arbitraire et dépend de la taille de l’objet qui pénétre l’atmosphère terrestre. On appelle météor ceux qui sont de grandes tailles et météorites les plus petits sans qu’il y ait une taille bien précise pour ranger l’objet dans une case ou l’autre.
Mais en aucun cas il ne peut s’agir d’autre chose que d’un objet d’origine extraterrestre, et non divers phénomènes se produisant dans l’atmosphere qui pourrait aussi bien êtres des phénomènes d’origine météorologiques que d’autres phénomène d’origine extraterrestre, notament lumineux comme les aurores polaire qui sont des phénomènes d’ionisation de la haute atmosphère sous l’effet d’un bombardement d’ions lourds ( protons, neutrons….) venus par le vent solaire et canalisés par notre magnétosphère. Là vous êtes carément dans on domaine Cochelin.
Exact, dans les domaines hors de l’astronomie chère à Rochain, :Dans le Larousse :
météore
nom masculin
(latin scolastique meteora, du grec meteôra, phénomènes célestes)
1. Tout phénomène observé dans l’atmosphère, à l’exception des nuages.
C’est la meilleure. Rochain voudrait nous donner des leçons d’étymologie, et se fourvoie ! Une occasion de se taire, encore une fois au lieu d’ironiser en permanence sur les commentaires d’autrui.
Toujours égaux à vous même à tripatouiller l’information.
Le Larousse ne dit pas ce que vous prétendez vous n’êtes bien qu’une bande de manipulateurs.
Phénomène lumineux autre que les nuages… Suivi de ce que vous avez escamoté :
Résultant d’un objet entrant dans l’atmosphère et venu de l’espace.
Il ne s’agit pas d’etymologie mais d’astronomie et dans ce domaine come ailleurs vous ne savez rien… Bande de petits minables prétentieux.
Le dictionnaire historique et étymologique de la langue française « Le Robert » précise : dans l’atmosphère, sans autre précision. Issu de « meteoros » issu de « meta-aeirein » en grec ancien : qui est en haut ou qui s’élève dans les airs. Tant pis pour vous, Rochain. Informez-vous -vous!
D’une part la référence qui a été donnée vetait celle du Larousse par votre complice avec un texte tronqué dans ce qui précisément expliquait que le phénomène lumineux avait pour origine un objet d’origine extraterrestre pénétrant l’atmosphère.
D’autre part vous faite référence à un dictionnaire étymologique dont l’objet est d’expliquer la façon dont est constitué un mot ce qui est souvent le cas comme ici en raison de son apparence. Ceci n’expliquent pas pour autant ce qu’il est réellement, ce dont il s’agit ici. Alors apprenez a vous servir des différents dictionnaires dans l’ usage pour lesquels ils ont été conçus au lieu de faire le maître d’école qui n’a rien compris comme d’habitude.
Votre complice avait choisi le bon dictionnaire mais il a, lui aussi selon son habitude, tripatouillé ce que disait le dictionnaire en imaginant que je n’irai pas vérifier… Vous faites une belle paire de faussaires.
Nous parlons ici du terme « météores » et son acception générale (dérivée de son étymologie) utilisé par l’auteur dans l’article de révolution-énergétique. Vous parlez de l’acception du terme « météorites » utilisé par les astronomes (et vous-même) pour autre chose. La différence est là. Ne vous fâchez pas pour cela !