Fonctionnement à plein régime du parc éolien en mer de Saint-Nazaire

Le premier parc éolien en mer de France tourne depuis mercredi à plein régime, au large de Saint-Nazaire, a annoncé EDF, à quelques heures de l’inauguration de ce parc dont la mise en service complète coïncide avec la nomination attendue du nouveau patron de l’énergéticien, Luc Rémont.

« EDF Renouvelables et EIH S.a.r.l. (…) ont l’honneur d’annoncer la mise en service complète du parc éolien en mer de Saint-Nazaire d’une capacité installée de 480 MW », annonce EDF dans un communiqué.

« Situées entre 12 et 20 kilomètres des côtes, les 80 éoliennes du parc produisent désormais l’équivalent de 20% de la consommation annuelle d’électricité de la Loire-Atlantique », précise EDF.

L’inauguration à Saint-Nazaire doit rassembler l’ensemble des parties prenantes: Etat, collectivités, entreprises, associations professionnelles et environnementales.

La maintenance du parc, qui s’étend sur 78 km2 et est surveillée à distance depuis une base située dans le port de La Turballe, sera assurée par une centaine de personnes pendant les 25 ans de son exploitation.

Les travaux de raccordement du parc avaient débuté en 2019, puis la construction du parc en mer s’est déroulée en 2021 et 2022, avec d’abord l’installation des fondations et des câbles électriques sous l’eau, avant acheminement des éoliennes sur place, du printemps 2022 jusqu’à l’installation de la dernière le 5 septembre.

« Depuis la production de ses premiers mégawatheures (MWh) début juin 2022, le parc éolien en mer de Saint-Nazaire a progressivement connecté ses 80 éoliennes au réseau national de transport d’électricité », lesquelles alimentent en électricité l’équivalent de la consommation annuelle de 700.000 personnes.

Il s’agit du « premier parc éolien en mer de France de dimension industrielle », a déclaré Bruno Bensasson, président-directeur-général d’EDF Renouvelables, qui a rappelé l’objectif d’EDF de « doubler sa capacité nette d’énergies renouvelables dans le monde pour atteindre 60 GW en 2030 ».

Cette annonce d’EDF intervient alors que l’exécutif doit nommer mercredi en Conseil des ministres le nouveau PDG d’EDF Luc Rémont, qui aura la lourde tâche de relancer le nucléaire, mais aussi le solaire et l’éolien.

commentaires

COMMENTAIRES

  • En espérant que des coactivités pourront avoir lieu à terme avec ces parcs éoliens en mer durant les « beaux mois » (de Paques à la Toussaint) : Pisciculture, conchyliculture, Algoculture; …
    La France est très très en retard en aquaculture marine dorénavant, malgré des équipes de R1D (notamment à l’IFREMER) très en avance !!! (Plus de 3 milliards de déficit commercial sur les produits de la mer annuellement !!! et plutôt 6 milliards si on enlève certains process de transformation du saumon norvégien notamment…).

    Sinon les promesses faites par certains de production « magiquement constantes » du fait que ce soit en mer ne sont pas vraiment tenues… Il y a des jours de « pétole molle », ie : très peu de vent et production à ras des pâquerettes (voir les 70 MW de la région Pays de Loire cette semaine qui passe à 1500 MW en quelques heures puis redescendent… Des vrais montagnes russes les productions des éoliennes !!!). Certes le Fc sera plus élevé qu’à Terre mais pas « magisue » pour autant …

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    • APO qui n’a toujours pas appris les bases du sujet et n’a même pas lu les effets bénéfiques des ENR sur la bio diversité prouvés par le retours scientifiques des pays qui sont déjà très très en avance que nous sur le sujet…

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  • Les jours de bas vent en mer sont bien plus rares que les jours de zero nucléaire des réacteurs par les temps qui courent. De plus ça ne transforme pas les richesses de la planète en chaleur

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    • @ »Père Vert » Serge,

      Qui utilise le plus le charbon dans ses divers process amont et aval !? Le Nucléaire ou l’éolien !?
      Nota : Ce serait un pêche de mentir mon « Père » vert (sauf dans la religion ENRiste !!!) !

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    • On dira bientôt : « Ridicule comme Rochain LOL
      « Les jours de bas vent en mer sont bien plus rares que les jours de zero nucléaire »
      Si on regarde l’ensemble du parc, l’éolien peut facilement varier dans sa totalité de près de zéro à près de 100%, strictement non pilotable, alors que c’est le niveau du continue qui est actuellement bas, 50% tout de même aujourd’hui.
      Et ça va vite maintenant remonter.

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  • On observe malgré tout, sur le site de RTE eco2mix, une grande variabilité de la production éolienne en Pays de Loire où est installé le parc de Saint Nazaire. Comme quoi, cette production est loin d’approvisionner de manière fiable, la consommation de 700 000 personnes (sans les professionnels, sans chauffage, ni cuisson, ni …). Ce n’est qu’un appoint qui doit être complété par du thermique fossile et des apports extérieurs à la région.

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      • Mais pour une grande sécurité pour l’alimentation du réseau, il faudrait construire un parc d’un puissance crête plusieurs fois supérieure à une consommation donnée, dû au F.C. relativement faible de ces ENR (15 à 25 % respectivement pour le solaire PPV et l’éolien). L’exemple de l’Allemagne (capacités crête installées : solaire PPV : 62,5 GW ; éolien : 64,9 GW) démontre que même avec un parc très dévelopé (et donc très coûteux), ce pays fait appel régulièrement à beaucoup d’énergies fossiles (actuellement charbon : 26 GW gaz : 9 GW) : https://www.energy-charts.info/charts/power/chart.htm?l=de&c=DE&stacking=stacked_absolute_area

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        • Mais Cochelin, moins que nous avec nos 61,5 GW installés de nucléaire !

          Par ailleurs 1 GW installé d’eolien coûte de 2 à 4 fois moins cher qu’un GW d’EPR Cochelin !

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          • @ »Père Vert » Serge,

            Ce serait bien de comparer ce qui est comparable !!! si cela est possible… On peut faire des comparaisons d’animaux par le nombre : 1 Boeuf est un animal, 1 blaireau aussi …

            1 GW de nucléaire dure 60 ans et produit de 80% du temps de manière voulue et pilotée donc… 1 éolienne 30 ans annoncé pour la moyenne avec 25% de facteur de charge intermittent et aléatoire…

            Enfin en cout complet système, le modèle ENRi pour un pays comme la France n’est pas chiffrable, mais cela coutera fort cher… Le Nucléaire est nettement mieux chiffrable et vu le cout de l’ARENH pas si cher que cela pour le Nucléaire historique (Même ENERCOOP veut sa part maintenant … LOL !).

      • @Régis,

        Où habites-tu pour ne jamais avoir vu d’éoliennes en France !? (cela ferait rêvé des milliers de personnes de pouvoir y déménage !!!).
        Que penses tu des plus de 33 GW d’ENRi en service à aujourd’hui !? (dont 20 GW d’éolien !!!) –>Est-ce une pacotille !?

        Répondre
    • Localement c’est toujours de la dent de scie Cochelin. La linéarité d’un socle de la production c’est pour l’ensemble du parc Cochelin… Et c’est pareil pour tout, le nucléaire également : un réacteur seul est soit arrêté soit en fonctionnement et si on obtient une instance à quelques % près de la ressource nucléaire c’est parce que certains réacteurs sont en état de fonctionnement et d’autres à l’arrêt et pas forcément les mêmes dans chaque catégorie !

      Répondre
      • Vous rappelez là une évidence que je n’ignore pas. Mais la dent de scie reste présente (dans une moindre mesure) au niveau national. Voir graphes de RTE.

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        • Ben si Cochelin, vous l’ignorez toujours… Là preuve dans votre message renvoyant une preuve de cette ignorance chronique avec une référence à la production à l’échelle nationale dont plus de 60% des éoliennes se trouvent sur une surface unique qui n’en représente que 16%

          Cessez de prétendre comprendre ce que vous n’arrivez pas à intégrer. Question de niveau ou de rouille intellectuelle ?

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          • Couvrir tout le territoire d’éoliennes irait à l’encontre de l’acceptation de la population, coûterait très cher, et n’assurerait pas une garantie de production proportionnelle au nombre d’éoliennes installées. Certaines régions ont plus de potentiel éolien et sont déjà bien pourvues. Un peu de réflexion, quand même, pour le perpétuel donneurs de leçons, mais écrit souvent des absurdités !

          • Arretez de me prendre pour un imbécile Cochelin en sortant de telles aneries…. Vous croyez faire un scoopavec cette serie d’idiotie évidente ?
            Votre nucléaire à son avenir derriere lui, mais ça vous avez surtout envie de l’ignorer

  • Et comment un parc de production débutant en Juin pourrait-il désormais produire « l’équivalent de 20 % de la consommation annuelle de la Loire Atlantique » ? Annonce prématurée et absurde !

    Répondre
    • Non Cochelin, le vent et la performance des éoliennes comme la production qui en découle ne sont pas des surprises mais des résultats estimés avec une excellente approximation. C’est la grande force de technologies maîtrisées dont ne bénéficie pas le nucléaire nouveau en raison de sa complexité.

      Répondre
      • @ »Père vert » Serge,

        Si vous suiviez un peu la course au large, vous sauriez que régulièrement des navigateurs font face à des imprévus météo, dans les Faits des vents plus faibles qu’annoncés par les modèles la plupart du temps (et pourtant il y a des moyens…).

        Et le mot à retenir de votre propos : «  » résultats estimés avec une excellente approximation «  » – C’est bien le coté Approximation (Hélas !) qui est et reste une réalité avec le Vent, mais de moins en moins souvent comparé au passé où l’estimation régnait …

        Répondre
        • @Serge,

          Au fait, petit tuyau sur Météo France, qui a longtemps gonflé un peu les prévisions de vent pour la météo marine en été, histoire que des gogos ne soit pas en mer par vent prononcé (cela sollicite moins la SNSM…).

          Répondre
      • @Rochain
        Vous ne semblez pas avoir compris le sens de mon commentaire puisque vous répondez à côté du sujet. Quelques mois de production (la part importante de la production n’ayant lieu depuis quelques semaines) ne peuvent pas couvrir 20 % de la consommation annuelle de la Loire Atlantique. Tout ceci ne tient pas debout. Comprenez-vous?

        Répondre
        • Je comprends surtout que vous vous accrochez à des aneries que l’on trouve ici ou là sous la plume des journalistes qui en l’occurence n’en n’est pas une si vous essayez de comprendre ce qu’il veut dire, lais cela n’a aucune importance, c’est l’occasion pour vous de faire l’outragé , mais que le fond du problème ne vous intersse pas Vous m’enyez Cochelin.
          Ce que l’onprend à la Terre sans pouvoir lui rendre, c’est fini, c’était jusqu’au siècle dernier ! point barre !

          Répondre
  • Si on compare avec les EPR qui ont une mise en production d’eau moins 15 ans avec l’urgence climatique , l’éolien répond tout de suite et l ‘EPR de Flamanville est avant tout un gouffre financier qui sera difficile a éponger .
    On voulait un epr avec une maintenance ne coupant pas la production , c’est perdu ne produit pas encore .

    Pour comparer il faudrais 15 ans sans vent , pari anti éolien très difficile a gagner … Je mise 1000 € sur l éolien , bienvenue a ceux qui misent sur le nucléaire …

    PS Réserve d’uranium pour 50 ans maximum et moins si on remplace toutes les centrales au bout du rouleau. C’ est ce qui me rassure le plus . Au début on avait nos mines d’uranium en France … On était indépendant , on avait des bombes atomiques a construire et pas de pretrole … Maintenant on doit aller chercher dans des contrées hors de France .

    Répondre
    • @Colas,

      1 – Avec quoi faites-vous le Back-up de l’éolien par petit vent !?
      2 – Sinon Combien d’années pour construire les premiers 1.5 GW d’éolien en mer !? (et à quel prix sans Back-up ni modification des réseaux électrique !?)

      Petite réponse au point 1 – Pour le Back-up de l’éolien ce sera principalement du Gaz en Europe et si dans 15 ans on avait 5 fois mois de Gaz qu’aujourd’hui !? QUID !?
      Petite Réponse au point 2 – On patine assez fort pour l’éolien en Mer, alors pour les 40 GW d’éoliens en Mer flottants pour 2050, il y a des « paris »(dans des cercles de gens qui connaissent un peu le sujet) que l’on en aura à peine 25% (ce qui me semble bien déjà !!!). Sinon pour ce qui est en mer, rappelez-vous des GW d’hydroliennes annoncées il y a 10-15 ans et aujourd’hui 0 mais vraiment 0 (pas une usine en route et pas un site de presque prêt !!!) et avant il y avait le houlomoteur, ça faisait rêver les surfeurs (toujours à 0 et pas près de passer la barre de 1 GW avant des décennies !) …

      Pour les réserves d’Uranium (dont on a encore des réserves minérales en France, mais chers comparés au cours internationaux), on aura moins de soucis que ce que l’on va avoir tout prochainement avec le pétrole et quelques autres matières premières…

      Répondre
    • @Colas
      Ne répondez pas à cet idiot qui ne sait pas que quand il n’y a pas de vent à Calais il y en a à Marseille, ou à Toulouse, ou à Brest, et quand il n’y a pas de vent à bordeaux il y en a à Calais, ou Lyon, où encore ailleurs, et que de la sorte, le backup du pas de vent au point A c’est l’ensemble des points BCDEF…. etc qui sont le backup. Il ne regarde jamais la carte des vents et bétonne sur cette stupide question, et tout le reste de son argumentaire sort du même tonneau. Ils sont 4 ou 5 sur ces forums à se la péter avec des âneries de ce genre, car aucun ne se donne la peine de prendre l’information sur les sites des organismes officiels, ils passent leur temps à se conforter les uns les autres dans leurs fantasmes. Je ne prends même plus la peine de lire leurs âneries quand le nombre de leurs messages envahi mon écran, je les zappe en bloc.
      Une chose certaine et qu’ils n’ont pas compris non plus, pourtant simple : Ce que l’on extrait de la Terre pour le transformer en chaleur aura forcément une fin. Quand on a compris ça, on a tout compris, ce qui se résume à : on n’a pas le droit de voler à la Terre ce qu’on ne pourra pas lui rendre, on n’a le droit que de lui emprunter.

      Répondre
      • J’ignorais que pour construire des éoliennes ou des panneaux photovoltaïques il n’y avait pas besoin de ressources naturelles ! A ma connaissance, on a besoin de terres rares (les bien nommées), d’acier pour les mats et les nacelles, de carbone et de fibre de je ne sais quoi pour fabriquer les pales, sans compter les milliers de tonnes de béton (qu’on recycle comment ?) et bien sûr de cuivre et de fer pour les générateurs électriques, tout autant que dans n’importe quel autre type de centrale et même certainement plus, car un gros générateur « consomme » moins de matériaux que la somme des plus petits sensés produire la même quantité d’énergie.

        Répondre
        • Et moi j’ignorais que vous ne saviez pas lire mais maintenant je le sais. Vous devriez me rapporter le passage dans lequel je suis supposé prétendre que pour fabriquer les instruments du renouvelable on n’a pas besoin de ressources naturelles, je suis impatient.
          En fait Terre rare, n’est pas bien nommé car la seule qui soit utilisée dans la construction d’éolienne de façon simplement facultative, c’est-à-dire non indispensable mais bien utile, n’a rien de rare comme toutes les terres dites rares et bien mal nommée, mais là encore je pourrais vous expliquer pourquoi on les nomme ainsi si je vous croyais capable de comprendre l’explication. En fait toutes les terres rares se trouvent dans le premier tiers des métaux les plus abondants de la croute terrestre, tandis que l’uranium se trouve dans le dernier 1/10, donc dans le dixième des moins abondants. Là aussi je pourrais vous expliquer pourquoi mais pour les mêmes raisons que ci-dessus ce serait peine perdu, un cours d’astrophysique ne s’improvise pas sur un coin de table.
          Pour le béton sachez que rien que pour faire la poubelle à déchets nucléaire appelée CIGEO, il a fallu 3 fois plus de béton que pour ancrer les 8000 éoliennes du parc français. Et je ne vous parle pas du reste, tour de refroidissement, couverture de la cuve, usine de pré et retraitement des combustibles (notamment près de chez moi à l’usine de Malvezy/Narbonne.
          Bref, vous continuez à étaler votre inculture.

          Répondre
          • @Rochain
            Vous ne pouvez pas comparer la quantité de béton nécessaire à COGEO et aux installations nucléaires (ainsi que la mobilisation de ressources minières en général), et la quantité nécessaire au parc éolien sans mettre en face la quantité l’électricité produite par filière sur une échelle de temps long. L’avantage sur ce point est à la filière nucléaire. A vous de démontrer le contraire. Mais il ne s’agit pas là d’une position binaire car l’éolien peut se concevoir dans les régions les plus ventées du territoire, et ainsi mieux rentabiliser les ressources mobilisées.

          • Cochelin : « l’avantage sur ce point est au nucléaire »
            Encore un exemple de la fatuité nucleophile… J’affirme. Donc j’ai raison et qu’importe vos preuves contraires !!!

            Vous voulez que je vous les redeballe ?

          • @ « Père Vert » Pépère Serge ,

            suite à votre propos : «  » Vous voulez que je vous les redeballe ? «  »
            S’il vous plait garder votre manteau fermé !!!

            P.S.: Pour le Nucléaire au kW.h produit (en incluant CIGEO) c’est très en dessous de l’éolien surtout sur 60 ans voir 100 ans(CIGEO c’est pour 100 ans de Nucléaire civil incluant quelques déchets du Nucléaire médical…
            Au kW hypothétiquement intermittent d’un coté et beaucoup plus pilotable de l’autre c’est plus discutable (surtout sans ajouter les back-up même si le Gaz est assez léger en béton, mais lourd en Acier…)… Mais on finit par consommer des kW.h et pas des kW !!!
            (Et en kW. »temps d’ouverture du manteau », c’est « BANG » et Serge a tout montré et déballé …)

      • @ »Père Vert » Serge,

        Encore une bien jolie Sermonade du Sacré Pépère !!!
        Pour le foisonnement du vent à l’échelle de la France, c’est très bof votre raisonnement de points ABCDEF, cela marche uniquement pour démontrer que la production éolienne n’est jamais nulle ce qui est vraie (5% n’est pas 0% !!!), mais par contre les variations dues au passage de dépression sont colossales, des pics soudain !!! On passe allègrement de 10 à 70% de la puissance installée, puis à nouveau 10% bien souvent… Et même avec de l’éolien en mer on améliorera un peu l’intervalle de foisonnement, ce sera peut-être de 15 à 70% !!! Cela restera Bien Bon pour le Gaz…
        En été, cela varie assez gentiment autour de 10-15% de la capacité installée et assez platement, mais juste 10 à 15% de la capacité !!! (dans ce cas les parcs marins devraient gonfler ces chiffres sur pas de créneaux horaires l’après-midi avec des vents thermiques, mais sinon cela restera faiblard…).

        A part les Gaziers, qui se félicitent des quantités d’éoliennes installés, les opérateurs de réseau font face à des difficultés de gestion des Flux lors des pics de vent !!!
        @ »PèreVert » Serge, Faire croire que la France peut être indépendante avec uniquement des ENRi sur sonsol est une bêtise et les 39GW d’interconnexion mentionnées clairement par RTE démontre qu’un monde d’ENRi sera un monde d’interconnexion à maille très larges (Perso depuis l’Arrêt du Projet DESERTEC qui avait réellement du sens pour faire du 100% ENRi, jene crois plus du tout au 100% ENRi, et toujours sans parler de la mono-dépendance grandissante à la Chine pour les équipements ENRi, et cela c’est une folie !!! du même tonneau voir pire que la dépendance Allemande au Gaz Russe…)

        Répondre
      • @colas,

        Regardez bien sous le manteau de « Père Vert » Pépère Serge, c’est joliment garni (N’est ce pas Pépère Rochain !?)
        Il y en a plein de vertes et de pas mures (et un fameux saucisson d’âne !!!)…

        Répondre
      • Et question Binaire, le « Père Vert » Serge est pour le coup vraiment un Expert international !!! (mais vrai de vrai !!!)

        Nota : @Pépère Rochain, plus je lis sur le sujet des éoliennes et plus cela m’en dégoute (et me fait découvrir l’ampleur des escroqueries intellectuelles dont on a été gavé depuis 20 ans !!!). De votre coté, vous prenez vraiment des Vessies pour des lanternes… (au moins les vessies ont pour elles d’être renouvelables, malgré des fuites à certains ages avancés chez certains sujets !!!)

        Répondre
  • Toujours la même erreur (volontaire) : « ’ce parc fournira … l’équivalent de 20% de la consommation annuelle d’électricité de la Loire-Atlantique  »
    Et bien non : si le vent ne souffle pas, il fournira 0 % de la consommation, c’est évident.
    C’est comme si on disait : Nord Stream fournit 50 % de la consommation en gaz de l’Europe : et bien non, suite à la guerre en Ukraine, il ne fournit plus que 0 % de la consommation.
    Quand on aura enfin compris cela (je parle de l’intermittence de l’éolien), probablement après quelques blackouts inévitables, il sera peut-être trop tard. Foncer sur l’éolien sans solution qui corrige ses défauts rédhibitoires, dont l’intermittence, c’est sauter dans le vide sans parachute, en espérant apprendre à voler avant d’arriver au sol.
    Qu’on se le dise !

    Répondre
    • C’est extraordinaire cette vision étriquée des nucléophiles comme Studer qui applique un régime différent au nucléaire et à ses concurrent.
      Quand il aura compris que ce qu’il dénonce comme une tare rédhibitoire s’applique en premier lieu au nucléaire il n’en reviendra pas !
      Non on se trompe en disant que l’EPR produira une puissance de 1,65 GW en mars 2012… car depuis mars 2012 il produit ZERO ! Non le nucléaire ancien à produit et produira de quoi répondre au besoin des français car depuis 8 mois il ne produit qu’environ entre le tiers et la moitié du besoin. Et qui est donc le backup ? D’abord le renouvelable dont on a bloqué le développement depuis l’arrivée de Macron au pouvoir, ensuite l’hydraulique et le gaz que l’on fait tourner à pleine puissance, et les ressources de nos voisins qui sont moins inconscients que nous ! Et ça ne s’arrange pas quand un réacteur repart un autre tombe en carafe :
      Le 20 -11-2022 il y a 26 réacteurs à l’arrêt.
      Le 21-11-2022 il y en a 25 à l’arrêt.
      Le 22-11-2022 il y en a 24 à l’arrêt.
      Le 23-11-2022 il y en a 24 à l’arrêt.
      Le 24-11-2022 il y en a 23 à l’arrêt.
      Le 25-11-2022 il y en a 22 à l’arrêt.
      Le 26-11-2022 il y en a 24 à l’arrêt.
      Le 27-11-2022 il y en a 25 à l’arrêt.
      Quand on ne sait pas on aprrend et on la ferme !

      Répondre
  • @ « Père Vert » Pépère Serge,

    Sur votre propos très pifométrique :  » car depuis 8 mois il ne produit qu’environ entre le tiers et la moitié du besoin. » –> Pourriez-vous donner le nombre de jours à un tiers de la production !? Idem pour le nombre de jours complets à moins de la moitié !?
    Votre réponse risque de décoiffer !!!

    J’aimerais apprendre votre façon de calculer, elle doit rendre heureux !!!

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