Lancement du débat public sur la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires EPR
La commission nationale du débat public (CNDP) a annoncé mercredi le lancement du débat public sur la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires, dont les deux premiers seraient implantés à Penly, une concertation qui posera plus largement la question de la relance du nucléaire en France.
« La possibilité de débattre publiquement et collectivement de la relance du nucléaire en France, à un moment où la décision n’est pas encore prise, est inédite », a souligné dans un communiqué le président du débat public « Nouveaux réacteurs nucléaires et projet Penly », Michel Badré.
Le débat public se déroulera sur quatre mois, du jeudi 27 octobre au lundi 27 février. Les réunions seront structurées autour de dix grands thèmes, « incluant l’opportunité de lancer un nouveau programme nucléaire », « sa conception technique », « ses conditions et conséquences de toute nature y compris face aux incertitudes climatiques et géostratégiques et aux évolutions de la société », selon le communiqué de presse de présentation.
En détail, le projet industriel présenté par EDF prévoit la construction de trois paires de réacteurs EPR2, dont la première est prévue sur le site de Penly, qui comporte déjà deux réacteurs nucléaires de 1.300 MW en exploitation depuis le début des années 1990, au bord de la Manche, à 17 km au nord-est de Dieppe.
Le coût global du projet est estimé à un peu plus de 50 milliards d’euros.
Lors d’un discours à Belfort en février, le président Emmanuel Macron avait annoncé la commande de six réacteurs de nouvelle génération EPR avec une première mise en service à l’horizon 2035. À cela s’ajoute une option pour huit de plus pour la fin de la décennie 2040.
La France dispose actuellement d’un parc de 56 réacteurs, dont certains ont passé le cap des 40 ans. Un seul est actuellement en construction, l’EPR de Flamanville (Manche), qui a accumulé les retards et surcoûts.
En parallèle, « une concertation nationale sur le système énergétique de demain, recommandée par la CNDP, devrait être organisée par le gouvernement », précise la commission sans plus de détails sur son calendrier. Cette concertation portera sur la question plus générale du mix énergétique futur de la France.
Jusqu’au discours de Belfort, la France avait prévu de fermer douze réacteurs supplémentaires, après les deux de Fessenheim déjà arrêtés, un objectif gravé dans sa programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). En février, le président Macron avait assuré ne pas vouloir fermer d’autres réacteurs « en état de produire ».
COMMENTAIRES
Il est faux déjà de dire que les deux réacteurs de Penly sont en exploitation car ils sont à l’arrêt depuis plusieurs mois déjà.
Quant au reste c’est un déni de réalité le résultat de cette consultation ne changera en rien la décision de Macron déjà arrêtée depuis son accession à la Présidence de passer effectivement commande.
Durant tout son premier mandat, Macron n’attendait que le démarrage effectif de Flamanville pour cautionner sa commande de 6 EPR, mais il a été rattrapé par le calendrier électoral avant que cette « caution » ne devienne effective et a dû se découvrir quant à sa conviction dogmatique qui ne s’appuie que sur l’échec de 5 années de retard supplémentaire. Mais déjà le fait de n’avoir lancé aucun appel d’offre pour le développement du renouvelable à charge de l’état comme pour l’éolien en mer montrait que son choix était bien le nucléaire. Pire il a renié les engagements de la France pris lors de la cop21 de Paris en bloquant leur réalisation pour l’échéance 2020 ce qui nous a valu notre état de dépendance à l’étranger aujourd’hui pour ne pas avoir à subir quotidiennement des blackouts, sans compter l’amande d’un demi-milliard d’euros pour inaction dans le développement du renouvelable.
Ce débat public ne sera qu’une pantomime de plus dans cette République devenue dictature.
Tout petit raisonnement :
Imaginez la France en 2050 sans réacteur nucléaire, selon les souhaits des anti-nucléaires.
– L’hydraulique peut augmenter un peu, mais certainement pas doubler.
– Le bio à partir des déchets naturels ne peut être bien grand. Disons l’équivalent d’un réacteur nucléaire, et je suis généreux.
– Le faux bio, à partie de cultures spécifiques avec tracteurs et engrais serait crétin.
– Éolien et solaire sont intermittents, et ont besoin en parallèle de centrales pilotables pour les jours de météo défavorable. Et au bout de l’année, compte tenu des taux de charge des sources intermittentes (25 à 40% pour l’éolien, moins de 15% pour le solaire), l’énergie électrique fournie sera en très grande majorité fournie par ces centrales pilotables.
Simple, n’est-ce pas LOL
Reste à choisir la nature de ces centrales pilotables.
Le choix est vaste, gaz, charbon, lignite, …
Laquelle ce ces sources préférez-vous ?
Et on en reparlera, si nous ne sommes pas tous déjà morts, lorsqu’on saura stocker l’électricité.
Pas demain la veille.
C.Q.F.D, on a besoin de construire au plus vite une centaine de réacteurs nucléaires, et dès que possible en quatrième génération (surgénérateurs, à Neutrons Rapides, …)
Sauf, bien entendu, si on pense que la diminution de réduction des gaz à effet de serre et l’évolution du climat ne sont pas des problèmes.
Toujours les mêmes âneries de renouvelables qui auraient le besoin d’être doublé par du fossile’.. Vous ne comprendrez jamais rien Guéret en refusant de comprendre que les éoliennes produisent durant 70 a 95% du temps selon le modèle et le lieu d’implantation.
Inutile de nous ressortir ces âneries à chaque message inutile.
Ah, que ferait-on sans les âneries de Rochain LOL
» les éoliennes produisent durant 70 a 95% du temps »
Certes, si vous passez à côté d’une éolienne bien placée, généralement, elle tourne.
Mais qu’elle puissance produit-elle.
Petite explication physique, que Rochain connaît bien, mais que, soit il ne comprend pas, soit est de mauvaise foi.
Au choix.
Je vais faire le calcul un peu détaillé, pour que ceux qui s’intéressent un peu à la physique comprenne.
L’énergie produite par l’éolienne est une part de l’énergie cinétique de l’air traversant le disque balayé par les pales.
Et la masse traversant en une seconde est, bien entendu, proportionnelle à la vitesse du vent.
Comme d’habitude, l’énergie de cette masse d’air varie comme le carré de la vitesse (E = m * C2)
L’énergie de cet air par seconde, donc la puissance, est donc par nature proportionnelle au cube de la vitesse vent.
Mais il y a des limites physiques dans l’éolienne (alternateur et résistance mécanique) qui font que cette forme en cubique de la courbe puissance fonction de la vitesse plafonne vers 40 km/h, variable selon le type de l’éolienne, évidemment.
Au delà, nous avons un plateau, puis un arrêt de sécurité.
Mais, pratiquement, que veut dire cette cubique ?
Prenons le cas d’une éolienne de 1 MW = 1000 kW au plateau, saturant à 40 km/h.
A 20 km/h, l’éolienne tourne vaillamment, mais fournit 2 * 2 * 2 = 8 fois moins, donc 125 kW seulement
Et à 10 km/h (elle semble encore bien tourner), 4 * 4 * 4 = 64 fois moins. 16 kW.
Quasi rien, donc.
Et c’est pourquoi on peut approximer la courbe de puissance d’une éolienne à un tout ou rien.
Vent faible à moyen, puissance nulle, vents moyens à fort, la puissance nominale.
Et c’est pourquoi le taux de charge des éoliennes en terre n’est que de 25%, 35 à 40% en mer.
Ce qui veut dire que vous devez mettre en parallèle des éoliennes des sources pilotables, et que, en France, le choix est assez limité. centrales à gaz comme à Landivisiau.
Et, au bout de l’année, ces pilotables auront produit plus que les éoliennes.
Sans oublier que vous avez doublé le prix.
Démonstration ridicule puisqu’il ne suffit pas de faire une liste des puissances émises en fonction de la vitesse de rotation si on ne met pas en face de chacune des lignes de la liste le pourcentage du temps durant laquelle elle tourne dans l’année.
La seule réalité est le constat du facteur de charge qui est bien connu en fonction de la zone concerné par type d’eolienne. Il se déterminé chaque année en fonction du résultat de l’année. Il dépend bien sûr des condition météorologiques qui en fait ne varient pas fondamentalement d’une année sur l’autre au niveau global du pays bien que par zone il est quelquefois très variable, mais c’est un effet du foisonnement de le lisser sur l’ année. Il est d’environ 26% en moyenne sur le territoire…. Disons seulement 25%pour simplifier.
Ce qui fait qu’un parc de 4 éoliennes de 2 MW produira sur une année autant qu’un éolienne de 2 MW qui aurait tourné en permanence à son niveau de production maximum.
Quand il n’y a pas de vent du tout sur la zone de ce parc il ne produira rien du tout Var 4 fois zéro font zéro et cela ce produira de façon espace dans le temps sur une durée total correspondant à 1 à 3 mois par an. Mais durant ces moments à d’autres endroits en France d’autres groupes de 4 éoliennes produiront ce que celui ci ne produira pas, c’est encore l’effet du foisonnement.
Le verbiage de Guéret n’a pas d’autre but que d’essayer de vous convaincre que l’éolien ne fonctionne pas et que seul le nucléaire est fiable…. Ce qui est loin d’être démontré, voir nuclear monitor de EDF.
Bel exemple d’âneries ….
Votre verbiage pseudo scientifique ne brasse que du vent pour l’essentiel et je ne perdrai pas plus de temps à vous répondre.
Mais c’est quand même gratiné pour un Sieur qui prétend à autant de compétences !
Eh Zoro….. vous savez compter jusqu’à combien ? Trois ? quatre ? ….. Cinq ? Incroyable. !
« Mais durant ces moments à d’autres endroits en France d’autres groupes de 4 éoliennes produiront ce que celui ci ne produira pas »
L’ennui, c’est que c’est faux.
Maintes fois démontré, en particulier par Jancovici.
Jamais démontré et surtout pas par ce clown de Jancovici qui passe son temps à chercher à faire le buzz
C’est démontré tous les jours par l’enchainement des cartes de météoFrance vent.
La vérité se trouve là : https://www.meteorama.fr/vent/
Et vous pensez réellement apporter une preuve quelconque avec cette carte ponctuelle de la distribution du vent ?
En première année de licence: 4/20 et encore je suis sympa!
Ce serait pas vous le clown déguisé en scientifique?
Mais bien sur Victor, une carte toute seule ne veut rien dire, c’est pourquoi j’ai la collection complete depuis le 21 janvier 2021…. ça vous interesse ? Ca c’est de l’info qui permet de savoir de quoi on parle….. pas le blabla qui vous passe par la tête
Hervé Guéret: one point
Serge Rochain: zéro point
Evaluation selon mes connaissance en physique et mathématique qui ne sont pas du tout les mêmes que Sieur Rochain !
Et le pire c’est qu’il traite Jancovici de clown , après de tels délires le débat avec ce triste Sieur ne peut pas se poursuivre.
Mais il ne faut pas le laisser sans réponses et diffuser son idéologie anti nucléaire qui a conduit où nous en sommes (cf les propos de Bernard Accoyer de PNC France).
Merci à Hervé Guéret pour son travail inlassable et indispensable pour rétablir quelques vérités factuelles.
Le combat continue!
Voilà que ce pauvre Victor ,se prend pour zoro
Ah, vous aussi comme Gueret, vous allez faire étalage de vos connaissances scientifiques, physique et vos math sup et math spé ?
Alors allons y changeons de registre puisqu’on a déjà un physicien qui se demande comment esquiver d’avouer qu’il ne sait paqs répondre à un simpliste problème et trouve toutes les esquives :
1-La question est mal posée,
2- s’il y a une fusée qui a déposé l’objet à l’atitude x, c’est qu’il a une vitesse ???? Ben non pour simplifié la fusée etait arrétée.
3- on tente la diversion en l’envoyant depuis le pole elle retombe, ben non ce n’est pas pour ça si elle retombe
Que va-til sortir maintenant ? Ah oui la question est incomplete car il faut d’abord fabriquer la fusée….
Bon alors pour vous ce sera le teste mathématique choisissez entre sup et spé mais c’est très simple.
Dans un couloir d’une certaine largeur qu’il faudra trouver on appuie deux échelles dont le bas est bloqué a l’angle du mur droit pour l’une et l’autre du mur gauche. Chacune des deux échelles ont leur extrémité qui s’appuie sur le mur d’en face. Les deux échelles se croisent à 1 metre de hauteur. L’une fait 2 m de haut et l’autre trois.
Donnez la largeur du couloir à la précision du millimetre.
Alllez y vous avez de quoi faire le malin puisque vous me TOISEZ
PS vous allez esquiver aussi, comme Gueret ?
Épuisant, le Rochain !!!
La fuite Guéret, toujours la fuite, l’esquive… Essayer de vous rattraper avec ça :
Le véhicule de Pesquet orbite en circulaire a une altitude de 420 km avec une vitesse linéaire de 27600 km/h… Pourquoi ?
Votre dernière chance de ne pas sombrer dans le ridicule après vos vantardises d’avoir « fait » de la physique avec math sup et math spe !
Fatiguant, le Rochain, cherchant à briller, et de façon maladroite, sur des problèmes élémentaires qu’il pose de façon biaise et partielle.
Honteux le Guéret ne sachant pas comment cacher son incompétence devant le moindre problème de physique, dont il se réclame en permanence.
C’est pourtant simple Guéret que du Galilee et du Newto’n rien de plus moderne n’est nécessaire. Pour un objet à satelliser autour de la Terre, seule l’altitude importe. Ne vous occupez pas du lanceur en cherchant à tourner autour du pot, ce n’est pas la question posée.
Pour votre petit calcul de largeur de couloir, ce n’est pas de la physique, mais un calcul à base de théorèmes de Thalès et Pythagore niveau classe de seconde.
Réponse, 1,230570599 mètres.
Son seul intérêt est d’exercer les enfants à la manipulation d’équations algébriques.
Et ça correspond à votre niveau.
Quant à votre fusée, oui, votre problème est infiniment mal posé.
Quant à votre vitesse nulle de votre fusée au moment de larguer l’objet, c’est stupide, vous prenez un référentiel terre inadapté.
Et je serais heureux de savoir comment, en lançant une fusée du sol, vous la faite arriver en orbite stationnaire LOL
Oui, vraiment mal digéré, votre cours de fac.
Comme le reste.
Bye.
Bon, je ne commenterai vos écrits que pour les contrer factuellement, pas envie de vos polémiques.
Faux Gueret, totalement faus…. Vous etes tombé dans le panneau, bien sur on trouve le resultat en cherchant sur internet, bien au-delà de la précision que je demandais…. ce qui vous trahis, mais dites moi a partir de quelle niveau équation on obtient le résultat ?
De plus vous fuyez encore devant le problème de physique l’énoncé est pourtant clair :
Vous êtes deposé immobile à l’altitude X et on ne vous demande pas de modifier l’énoncé mais d’y répondre.!
Le problème posé n’est pas celui de la fisée, ni de la fabrication de son carburant mais de l’objet déposé avec une vitesse ascentionnelle nulle et une vitesse transverse nulle ! Quelle sera la vitesse linéaire orbitale qui lui sera imposée par les conditions physiques ?
Pourquoi croyez vous que l’ISS orbite à la vitesse linéaire de 27600 Km/h à 420 Km d’altitude ? Par hasard ?
Sacré Rochain.
« Vous êtes deposé immobile à l’altitude X »
ça dépend du référentiel choisi.
Si je suis largué immobile dans un référentiel galiléen dans lequel la terre est, elle aussi, immobile, simple, dans tous les cas, l’objet a une accélération vers le centre de la terre. Sa fin va être tragique.
Si on est dans le référentiel terrestre, on aura toujours une orbite elliptique, dépendant de la vitesse initiale et de l’altitude.
Le cercle étant bien entendu une ellipse particulière.
Bien entendu, certaine de ces ellipses percutent la terre.
Rien d’intéressant donc.
Rochain s’enfonce désespérément dans la vase et continue à agiter les pieds LOL
ét en plus vous ne savez manifestement pas ce qu’est une orbite géo-stationaire, elle est à 36 000 Km au dessus du sol et je ne vous ai pas dit que x etait à 36000 Km parce que X peut être n’importe quelle altitude.vous êtes dans la panique pure et simple.
Alors Monsieur le physicien matsupéen et matspéen, l’objet que l’on va simplement considérer comme posé à l’altitude X, pour dépouiller au maximum la complexité du problème, attends toujours de savoir à quelle vitesse il doit orbiter de façon circulaire autour de la Terre, et il commence à s’impatienter car il lui est impossible de rester immobile ! Je ne peux pas vous simplifier plus ce problème, et pour vous aider j’ai même ajouté que l’objet en question pourrait être la station spatiale internationale (ISS) qui, à l’altitude X de 420 Km, orbite à la vitesse de 27600 Km/h et cela sans qu’aucun moteur ne la pousse car seule l’altitude détermine la vitesse orbitale, et vous pouvez vous appuyer sur cette indication qui n’est pas un piège ! L’embauche à la NASA, à l’ESA, à la CNSA, ou à la JAXA semble bien compromise.
Dans un autre ordre d’idée vous avez cru intelligent de prétendre répondre à la place de Victor qui se vantait lui aussi d’avoir d’autres connaissances que les miennes «selon mes connaissance en physique et mathématique qui ne sont pas du tout les mêmes que Sieur Rochain !» au sujet d’un problème d’échelles qui se croisent. Lui et ses grandes connaissances ont a choisi de faire le mort plutôt que risquer de réfléchir à la solution, et vous de faire le malin en répondant à sa place alors que vous auriez mieux fait de vous abstenir, car je savais qu’au mieux de vos possibilités réelles vous vous contenteriez de chercher la solution de ce problème sur Google où on trouve tout… notamment les résultats mais pas forcément bien développés. Mais là encore vous vous êtes donc pris les pieds dans le tapis, vous et votre mathsup-mathspé de bas étage en donnant une réponse bêtement piquée dans un article que l’on obtient simplement en interrogeant Google, et un peu commenté mais sans plus. Ce qui fait que vous ne savez même pas le niveau du système d’équation qui permet de résoudre le problème. Et vous vous contentez de cité de façon condescendante les théorèmes de Thales et de Pythagore en précisant, de niveau classe de seconde pour apprendre aux enfants à manipuler les équations algébriques. Mais sur ce chapitre vous vous couvrez de ridicule là aussi. Mais ce petit problème anodin requière une connaissance approfondie, que vous êtes loin de posséder tout comme Victor, car ce n’est pas dans votre cursus étriqué que l’on étudie l’ensemble des systèmes d’équations polynomiales, et en particulier les polynômes du 4em degrés dont la maitrise est nécessaire pour résoudre ce petit problème que vous NE SAVEZ PAS RESOUDRE. Et votre stupide référence à la classe de seconde qui n’a jamais dépasser l’étude du polynôme du deuxième degré, tout comme les classes de première et terminale (sauf pour cette dernière dans l’option math qui aborde l’étude des polynômes du troisième degré de Cardan) souligne que vous ne savez même pas de quoi vous parlez en matière de mathématiques. Je ne saurais trop vous conseiller un excellent ouvrage traitant de cette évolution de l’étude des équations polynomiales dans un de ses chapitres consacré aux méthodes algébriques modernes, « Une histoire des mathématiques, des origines jusqu’aux algorithmes » paru chez ISTE Editions en 2021. Quant à ce problème d’échelle, au lieu de chercher simplement le résultat dans Google, je vous suggère de consulter la réponse complète et concrète que je lui ai donnée ici : http://astronomie.narbonne.free.fr/spip.php?article4
Vous vous êtes montré incapable de résoudre un petit problème d’astronautique et vous ne satelliserez donc jamais rien, et tout aussi incapable de résoudre un problème de math, qui n’est pas un problème de classe de seconde, je vous l’accorde, mais c’est vous qui l’avez dit et pas moi.
Aussi, vous seriez bien aimable à l’avenir de ne pas vous vanter d’avoir « fait »(?) de la physique, math-sup et math-spé, car dans tous ces domaines, autodidacte sans les œillères d’un programme scolaire, je suis allé bien plus loin que vous, et bien plus loin que vous ne pouvez imaginer, et sans condescendance à votre égard.
Merci Victor.
Bien entendu, lorsque je réponds à Rochain ou Marguerite, ce n’est pas à eux que je m’adresse, c’est pour ne pas laisser des contre vérités polluer l’esprit d’autre lecteurs non avertis.
Pour Rochain, ce n’est jamais intéressant, et il n’est toujours que dans ce qu’il sait faire, la polémique.
Pour Marguerite, c’est un peu triste. Elle connaît ses dossiers de mieux en mieux, et j’apprends souvent quelque-chose.
Son problème, en faisant son job de communicante, c’est qu’elle tire des conclusions non licite des faits.
Le coup classique est l’extrapolation.
Tout ingénieur sais qu’interpoler est intéressant, en prenant des précaution, mais qu’extrapoler est casse gueule.
Or, c’est l’une des bases implicites de ses raisonnements.
Ex : On rajoute éolien et solaire dans un pays fortement utilisateur de centrale à charbon, le CO2 baisse.
DONC
Si on rajoute suffisamment d’éolien et solaire, il suffit de prolonger la courbe, on parvient facilement à 100% de renouvelable intermittent sans CO2.
Rochain nous la joue aussi parfois.
Bonne soirée Victor.
Gueret est vexé comme un poux, pris en flagrand délit d’ignorance de ce dont il se vante il cherche maintenant à réduire mes interventions à la polémique, laquelle est appuyée systématiquement sur les sites de RTE et EDF…. qui sont des organismes polémiques bien connus.
Aujourd’hui les vaillantes petites éoliennes des seuls Haut de France et du Grand Est, donc de seulement 16 % de la surface du territoire on fournit jusqu »à 10 GW de puissance. Sachant que le vent était aussi abondant ailleurs, comme d’habitude, par exemple en ils de France et Val de Loire et le matin de la frontiere Belge à la Bretagne plus le golf du Lion tandis que l’apreès midi on voyait plutôt s’estomper la Bretagne mais en revanche le vent monter de la Vendée à la frontiere Espagnole et toujours le golf du Lion mais chute du vent dans le petit 16% du pays en soirée. Manifestation ordinaire du foisonnement où quand un lieu est déserté par les vents un autre prend la relève. Malheureusement les éoliennes sont encore totalement absentes en mer de la frontiere Belges à l’Espagnole, le principal gisement par sa dimention.
Mais on peut imaginer qu’aussibien garni en éolienne que le sont les hauts de France c’est 30 GW au bas mot qui seraient produit chaque jour et tous les jours ou presque, quelquefois seulement 20 et rarement moins.
Sieur Rochain est tellement aveuglé par sa vanité qu’il finit par croire ce qu’il rêve, un vrai croyant ! Et pour appuyer sa croyance il nous montre une évidence, à savoir qu’il y a régulièrement (pas toujours !) du vent un peu partout en France ( le saint foisonnement!) et s’imagine qu’il suffit de mettre suffisamment d’éoliennes dans tous les coins de la France pour produire des 30 GW par ci et par là car il y aura bien du vent quelque part ! Vous imaginez la quantité et le coût d’investissement sans connaître exactement le nombre d’éoliennes et les lieux favorables …pure délire ! Et les jours d’anti cyclones où il n’y a quasi aucun vent sur la France voire une grande partie de l’Europe Sur Rochain ne nous dit pas comment on alimente le réseau. Sans aucun doute le dieu Hélios et le dieu du stockage d’électricité viendront nous sauver. Je crois en toi Sieur Rochain et je m’incline devant un tel Messie.
PS: moi je crois tout bêtement au mixte renouvelable et nucléaire sinon c’est renouvelable et fossiles pour maintenir un niveau acceptable socialement. Amen!
Oui c’est bien u’e messa que nous sort l’abbé Victor.
Qui s’imagine que si lui ne sait pas où mettre les éoliennes ni en quel nombre, personne ne le sait… Ignorance partagée en quelque sorte. Dans la même prière il décrete que s’il n’y a pas de vent au bout de son nez il n’y en a nulle part ce qui est plus facile à dire qu’à s’assurer de la réalité de la chose comme ne le confirme pas, loin de là ma collection de cartes météo France-vent patiemment construite chaque jour depuis près de deux ans, en quelque sorte dans le déni de la réalité… Mais comme tous les religieux il croit pouvoir convaincre sans prouver. Comme il décrete que nous vivons très fréquemment sous les effets d’u’ anticyclonevpetcistant sans aucun vent nulle part sur toute l’Europe, la encore comme ne le confirment ni les cartes vents de l’Europe de ma collection de seulement neuf mois aujourd’hui et ma carte France précédemment citée puisque la France fait partie de l’Europe et si ce ‘n’ est déjà pas vrai pour la France durant cette dernière année et demie ce ne peut pas l’être pour l’Europe.
En pratique et pour résumer il existe en moyenne entre 4 et 6 jours par an, tous en été et non consécutifs des périodes très courtes ou le vent est nul ou trop faible pour animer efficacement les éoliennes d’aujourd’hui.
D’un côté vous avez un prédicateur à boule de cristal et qui vous débite ce qu’il y voit, et de l’autre un analyste qui étudie les enregistrements réalisés par les professionnels de secteur que sont les météorologues et qui vous fait part de ses observations.
A vous de choisir la méthode qui vous semble être celle qui traduit le mieux la réalité sur laquelle on peut s’appuyer pour faire ses choix de production électrique.