Le marché européen de l’électricité : entre enjeux énergétiques et défis économiques
La crise énergétique actuelle met en lumière les fragilités du marché européen de l’électricité. Entre la volatilité des prix, la transition énergétique et la sécurité d’approvisionnement, les défis sont nombreux. Décryptage.
Le marché européen de l’électricité, fruit de décennies d’intégration énergétique, est aujourd’hui au cœur de nombreux enjeux. La crise énergétique récente a mis en évidence sa vulnérabilité, notamment face à la hausse des prix des combustibles fossiles et à la dépendance de certains pays vis-à-vis de l’importation d’énergie.
Initialement conçu pour favoriser la concurrence et faire baisser les prix, ce marché a vu ses mécanismes mis à rude épreuve. Le principe de la formation des prix, basé sur le coût marginal de la production, s’est révélé particulièrement sensible aux fluctuations des cours du gaz naturel. En effet, les centrales à gaz, souvent appelées en dernier recours pour équilibrer l’offre et la demande, ont tiré les prix de l’électricité vers le haut, entraînant une flambée des coûts pour les consommateurs et les entreprises.
La transition énergétique, avec le développement massif des énergies renouvelables, a également complexifié le fonctionnement du marché. L’intermittence de la production d’électricité solaire et éolienne rend plus difficile la prévision de la demande et nécessite des mécanismes d’ajustement en temps réel. Si les énergies renouvelables sont essentielles pour atteindre les objectifs climatiques, elles posent de nouveaux défis en matière de gestion du réseau électrique.
Pour faire face à ces enjeux, les institutions européennes ont mis en place une série de réformes visant à renforcer la résilience du marché de l’électricité. Il s’agit notamment de diversifier les sources d’approvisionnement, de développer les interconnexions entre les réseaux électriques nationaux, et de mettre en place des mécanismes de solidarité entre les États membres.
Par ailleurs, la question de la tarification de l’électricité est au cœur des débats. Certains experts plaident pour une réforme en profondeur du système actuel, afin de mieux refléter les coûts réels de production et de consommation. Une telle réforme pourrait permettre de réduire la volatilité des prix et d’inciter les consommateurs à adopter des comportements plus vertueux.
La sécurité d’approvisionnement constitue également un enjeu majeur. La guerre en Ukraine a mis en évidence la vulnérabilité de l’Europe face aux perturbations de l’approvisionnement en gaz naturel. Pour renforcer leur autonomie énergétique, les États membres de l’Union européenne sont incités à accélérer le développement des énergies renouvelables, à améliorer l’efficacité énergétique et à diversifier leurs sources d’approvisionnement.
En conclusion, le marché européen de l’électricité est à la croisée des chemins. Les défis sont nombreux et complexes, mais les enjeux sont considérables. La transition énergétique, la sécurité d’approvisionnement et la maîtrise des prix sont autant de questions qui devront être résolues dans les années à venir. Les décisions prises aujourd’hui auront un impact durable sur le modèle énergétique européen et sur le quotidien des citoyens.
COMMENTAIRES
je cite ds le texte
« La transition énergétique, avec le développement massif des énergies renouvelables, a également complexifié le fonctionnement du marché. L’intermittence de la production d’électricité solaire et éolienne rend plus difficile la prévision de la demande et nécessite des mécanismes d’ajustement en temps réel. Si les énergies renouvelables sont essentielles pour atteindre les objectifs climatiques, elles posent de nouveaux défis en matière de gestion du réseau électrique »
conclusion je cite ds le texte.
« Pour renforcer leur autonomie énergétique, les États membres de l’Union européenne son incités à accélérer le développement des énergies renouvelables, à améliorer l’efficacité énergétique etc etc.!
Les ENR intermittentes prioritaires foutent le bazar sur les réseaux et nécessitent des centrales gaz, les seules qui ont la réactivité nécessaire à niveler leurs à-coups de production en dents de scie .au niveau tension et fréquence (grâce à leurs machines tournantes tjrs prêtes!). Le co² que cela induit n’est jamais évoqué (il suffit de comparer les résultats du côté des teutons par rapport à nous!). Enfin au niveau des Coûts ce qu’a proposé l’UE a tué son économie et notamment celle de la France. Merci Ursula et l’Allemagne qui n’a pas digérée notre avantage nucléaire allié à notre capacité hydraulique qui nous permettait (et ns permet encore) de répondre à 95% des pics de conso d’électricité avec un coût d’exploitation a faire pâlir leur « grûn » inféodées à l’antinucléaire depuis 1970 dont merkel était une aficionado de l’époque!
et Michel Dubus qui se vautre de nouveau dans les vieux fakes alors que Cochelin a prouvé à tout le monde que la France arrete le peu D’ENR en place pour exporter à perte notre merde polluante de nucléaire .. il n’a toujours pas vérifier que si certaines ENR sont prévisibles d’autres sont beaucoup plus pilotables que nos vielles chaudières polluantes nucléaires .. et ce sont bien les ENR qui ont fait fermer les centrales thermiques déjà en place pour pallier les défaillances du nucléaire ..en sachant toujours que l’electricité ce n’est que 20 % de l’énergie et que ce sont bien les ENR qui nous sortent aussi du fossile / charbon / petrole / gaz ..
» … rend plus difficile la prévision de la demande … « . Quelle confusion !
Comme si la demande (la consommation d’électricité) dépendait de la production éolienne et solaire !
Une bonne solution pour éviter une trop forte hausse des prix de l’électricité lors des fortes demandes et d’éviter aussi une trop forte baisse de ceux-ci lors des faibles demandes, est de stocker une partie de l’électricité solaire produite aux heures méridiennes pour l’injecter dans le réseau le soir et en début de matinée.
En complément, il faudrait arrêter la moitié des réacteurs nucléaires en été, tout en les utilisant sans aucune variation à leur puissance nominale. Cela permettrait de prolonger plus facilement leur durée de vie : comme la pile Wonder, un réacteur nucléaire « ne s’use que si l’on s’en sert ».
Pour l’année 2023 par exemple, ne disposer que de la moitié des réacteurs nucléaires en les utilisant en flux continu à leur puissance maximale aurait conduit à une situation plus favorable que celle constatée.
Ainsi, sur la base des données réelles de consommation et de production de tous les renouvelables, sans aucun échange avec les autres pays, en limitant aussi la capacité nucléaire au printemps et en automne, le solde excédentaire de la production aurait été de 53 TWh.
Dans le détail, il y aurait eu un déficit d’environ 8 TWh et un excédent d’environ 61 TWh.
Avec seulement 8 GWh de capacité de stockage (2 GW x 4 heures), les besoins de complément en gaz renouvelable auraient été d’environ 7 TWh. Soit beaucoup moins que les 30,5 TWh fournis par le charbon + le pétrole + le gaz en 2023.
L’excédent final après consommation par le stockage aurait été supérieur (60 TWh contre 51 TWh) au solde exportateur constaté par RTE en 2023.
Cet excédent aurait pu servir en partie pour de la production d’hydrogène, à usage industriel uniquement, et en partie pour du stockage sous forme de chaleur associé aux réseaux de chaleur.
Tout le monde n’a pas accès à des études non publiées, ce qui est dommage.
RECTIFICATIF : « … ne disposer que de la moitié des réacteurs nucléaires EN ÉTÉ …. «
En 2022, les centrales thermiques fossiles ont été mise plus à contribution (car pilotables) en France comme en Allemagne pour pallier la défaillance temporaire du parc nucléaire Français. De plus, les ENR à leur mesure, les imports conséquents et la baisse de la consommation ont ainsi contribué à l’équilibre du réseau. Mais en 2023, c’est tout l’inverse grâce surtout au rétablissement du parc nucléaire, l’hydraulique et partiellement les autres ENR. Les exports nets ont augmenté considérablement en France et les imports considérablement augmenté en Allemagne suite à la fermeture de son parc nucléaire et de quelques centrales à charbon : https://www.energy-charts.info/charts/energy/chart.htm?l=fr&c=DE&interval=year&legendItems=4x0nfnu&year=-1
merci cochelin de bien confirmer ce que j’ai écris juste en dessus : les centrales thermiques déjà mises en place pour pallier aux défaillances du nucléaire .. et vous oubliez que l’Allemagne a dépanné la France pendant au moins une dizaine d’année .. en oubliant dans vos chiffres qu’en France on arrête les ENR pour exporter à perte notre merde polluante de nucléaire en se gardant la pollution et les déchets ultimes et en dépendant de l’Afrique et de la Russie rien que pour notre électricité qui en représente toujours que 20% du problème et que ce sont bien les ENR qui nous sortent aussi du fossile / charbon / pétrole / gaz ..ce que n’a jamais fait le nucléaire que l’on a pourtant depuis plus de 60 ans
La France dispose déjà de plus de 5 GW de stockage par des STEP pour 103,5 GWh de capacité, et d’une autonomie de 30h : https://www.revolution-energetique.com/dossiers/ou-se-trouvent-les-stations-de-transfert-denergie-par-pompage-step-en-france/?_gl=1*a5iv6k*_ga*R0hVZ05RX1IwMnVYemNVdnMwZ2k2eEUxYUF2U29BTzg1T1pvYmZaeVMyWkZrZGRfMVNyQmRiRk9DNkVTTjI0UA..*_ga_FN0V1RZMGC*MTczMDMwMzcyMS4yOC4xLjE3MzAzMDM3MjEuMC4wLjA.
et ça servira pour les ENR .. et il faut les develloper
RECTIFICATIF n° 2 : Pour les … 8 GWh de capacité de stockage (2 GW x 4 heures) …, il s’agit de capacité de stockage par batteries EN PLUS des capacités de STEP existantes.
Très peu de charbon et le pétrole utilisés en 2023.
Quelle certitude que vos estimations eussent été réalisées dans le cas d’une telle capacité de stockage supplémentaire ? Et d’où proviennent ces estimations ?
À comparer avec l’analyse de RTE sur la situation des échanges en 2023 : https://analysesetdonnees.rte-france.com/bilan-electrique-2023/echanges#Vuedensemble
oui grâce aux ENR qui ont fait fermer les centrales thermiques mises en place pour pallier aux défaillances du nucléaire mais quand on parle du vrai probleme de l’énergie on constate bien que l’électricité ce n’est que 20% du probleme et que ce sont bien les ENR qui nous sortent aussi du fossile / charbon / pétrole / gaz ..
En 2022, les centrales thermiques fossiles ont été mise plus à contribution (car pilotables) en France comme en Allemagne pour pallier la défaillance temporaire du parc nucléaire Français. De plus, les ENR à leur mesure, les imports conséquents et la baisse de la consommation ont ainsi contribué à l’équilibre du réseau. Mais en 2023, c’est tout l’inverse grâce surtout au rétablissement du parc nucléaire, de l’hydraulique et partiellement les autres ENR. Les exports nets ont augmenté considérablement en France et les imports considérablement augmenté en Allemagne suite à la fermeture de son parc nucléaire et de quelques centrales à charbon : https://www.energy-charts.info/charts/energy/chart.htm?l=fr&c=DE&interval=year&legendItems=4x0nfnu&year=-1
merci cochelin de bien confirmer ce que j’ai écris juste en dessus : les centrales thermiques déjà mises en place pour pallier aux défaillances du nucléaire .. et vous oubliez que l’Allemagne a dépanné la France pendant au moins une dizaine d’année .. en oubliant dans vos chiffres qu’en France on arrête les ENR pour exporter à perte notre merde polluante de nucléaire en se gardant la pollution et les déchets ultimes et en dépendant de l’Afrique et de la Russie rien que pour notre électricité qui en représente toujours que 20% du problème et que ce sont bien les ENR qui nous sortent aussi du fossile / charbon / pétrole / gaz ..ce que n’a jamais fait le nucléaire que l’on a pourtant depuis plus de 60 ans.. pour les fakes sur l’allemagne vous avez les chiffres de d’importation et d’exportation année après année pour apprecier la vraie situation ..
Que font les tous les pays pour pallier les défaillances ou faiblesses de leurs ENR ? Ils sollicitent plus leurs centrales thermiques fossiles pilotables et/ou ils importent. Tout comme l’Allemagne ! Regardez en détail : https://www.energy-charts.info/charts/power/chart.htm?l=fr&c=DE&legendItems=0111111111111111111111111111111110000000&interval=month&source=total
Mais l’Allemagne se remet à importer massivement pour compenser cette fermeture (arc nucléaire + 15 centrales charbon) : https://www.energy-charts.info/charts/energy/chart.htm?l=fr&c=DE&interval=year&source=total&year=-1&legendItems=uz0zkzt
Malgré une baisse de consommation.
Dans l’ensemble, l’Allemagne importe plus qu’elle n’exporte. https://www.energy-charts.info/charts/power/chart.htm?l=fr&c=DE&interval=month&month=10&source=total&legendItems=1wgw4 Je n’ai jamais écrit le contraire !
Voilà le bon lien déjà posté (par moi) : https://www.energy-charts.info/charts/energy/chart.htm?l=fr&c=DE&interval=year&source=total&year=-1&legendItems=uz0zkzt
L’Allemagne a importé en 2023 8,6 TWh et en 2024 (qui n’est pas terminée) 24,7 TWh. En fin d’année, ce sera beaucoup plus. Apprenez à lire !
Non. L’Allemagne était exportatrice nette de 2003 à 2022 avec son parc nucléaire. C’est très visible sur le graphique de energy-charts !
Et quel est le problème avec notre parc nucléaire et notre santé ? Des sources ! Et des comparaisons avec nos voisins qui utilisent beaucoup de charbon ! https://www.wwf.fr/vous-informer/actualites/les-pays-qui-exploitent-le-charbon-nuisent-a-la-sante-de-leurs-voisins#:~:text=Les%20pays%20les%20plus%20impact%C3%A9s,et%20la%20Hongrie%20(700).
Votre lien oriente vers un site anti-nucléaire. l’article de ce site comporte de nombreux biais.
Par quel procédé c’est EDF qui pollue en Pologne ? Et qui utilise le plus de charbon et de gaz en Europe ? La Pologne pour le charbon et ensuite l’Allemagne. Pour le gaz, l’Allemagne. https://app.electricitymaps.com/zone/PL
Vous en restez toujours dans le secteur de l’électricité, ce que vous me reprochez en permanence.
Le site « provence-energie-citoyenne » use du terme « lobby nucléaire » et se situe donc d’emblée, sur le plan idéologique, dans le camp adverse, c-à-d anti-nucléaire.
L’article fait référence à l’année 2022 et préjuge un peu vite de l’évolution à venir.
La baisse de la consommation d’énergies fossiles est en partie liés à forte baisse de la consommation d’électricité : -79 TWh.
La phrase « C’est 41Gigawatt (de ENR) qui ont été installés en 2022. Cette croissance est largement supérieure à la croissance du charbon » mélange capacités installées et production. Ce site ne connait donc pas le facteur de charge des ENR.
Mais reconnait que le redémarrage des centrales nucléaires Françaises va entrainer une baisse de la consommation d’énergies fossiles dans les années à venir.
Il est aussi écrit « Tout les indicateurs sont au vert à l’exception notable de la fermeture des centrales nucléaires en Allemagne. En effet cela va entrainer à court terme une demande pour d’autres sources d’énergie ». On le voit déjà en Allemagne ainsi que les imports nets qui aussi augmentent fortement dans ce pays.
Pour votre information sur le facteur de charge dont vous semblez tout ignorer : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Facteur_de_charge_(%C3%A9lectricit%C3%A9)
Je ne remets pas en cause la volonté de relancer l’hydroélectricité mais alors pourquoi donc utiliser les termes de » lobby nucléaire » si ce n’est pour discréditer la source d’électricité la plus fiable et la productive en France ?
En France, on arrête le nucléaire (et quelquefois aussi le solaire PPV ou l’éolien)pour éviter les prix négatifs et exporter à perte : https://www.revolution-energetique.com/prix-negatifs-de-lelectricite-la-france-contrainte-darreter-cinq-reacteurs-nucleaires/
Cochelin c’est vous qui avez prouve que l’on arrete les ENR pour exporter à perte notre merde polluante parce que le nucléaire n’est pas pilotable comme les ENR …
Mais puisque je vous dit que l’on arrête du nucléaire pour éviter les prix négatifs et ne pas exporter à perte : https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/le-nucleaire-module-de-plus-en-plus-sa-puissance-134470/ Ne comprenez-vous pas ?
Cochelin c’est vous qui avez prouve que l’on arrête les ENR pour exporter à perte notre merde polluante parce que le nucléaire n’est pas pilotable comme les ENR …Canado vous a déjà explique et vous n’avez encore et toujours rien compris .. ce qui ressortirait de votre lien c’est que vous prouvez que l’on peut se passer du nucléaire en France et ce de plus en plus …c’est déjà une bonne chose .. le temps de dévelloper les ENR et toutes les mesures d’accompagnement en France
Que l’on peut se passer de nucléaire ? Regardez les productions en France et ailleurs hier et aujourd’hui. À part l’hydraulique comme ENR fiable, les prévisions de Canado sont toutes théoriques et rien ne permet de les confirmer ! https://app.electricitymaps.com/zone/FR
On arrête très rârement les ENR mais plus souvent le nucléaire (en fin de semaine et les jours fériés) pour éviter d’exporter à prix négatifs, comme je vous le répète souvent puisque vous semblez ne pas comprendre. Vous pouvez le constater dans les graphiques publiés par RTE. Depuis quelque temps, les ENR variables (dont la capacité non négligeable est visible ici : https://www.rte-france.com/eco2mix/les-chiffres-cles-de-lelectricite) sont à la peine et c’est le nucléaire qui nous fournit une grosse partie de la production, le pays étant en permanence exportateur pour venir en aide à nos voisins Allemands, et à d’autres.
extrait du message
La sécurité d’approvisionnement constitue également un enjeu majeur. La guerre en Ukraine a mis en évidence la vulnérabilité de l’Europe face aux perturbations de l’approvisionnement en gaz naturel. Pour renforcer leur autonomie énergétique, les États membres de l’Union européenne sont incités à accélérer le développement des énergies renouvelables, à améliorer l’efficacité énergétique et à diversifier leurs sources d’approvisionnement.
Si la formulation était un peu plus précise du type « perturbations de l’approvisionnement en gaz naturel et en électricité », je pourrais adhérer totalement car en France on estime de façon arrogante et dangereuse que nous n’avons qu’un problème de gaz à résoudre (avec les conséquences en faveur des gaziers de tout poil avec des AO qui ne peuvent et c’est clairement annoncé, que profiter à eux seuls, je ne parle même pas des consommateurs) Mes collègues et moi-même contestons ce fait et pensons que le temps est venu de parler de sécurité d’approvisionnement en électricité en cas de graves évènements climatiques comme celui qui soulève d’émotion du côté de Valencia .Imaginez que les pluies torrentielles soit accompagnées de vents très violents ? Et bien en France on pourra toujours faire de la cuisine ! Mais rien d’autre. Me voyez vous venir ou pas ? Je peux développer… sur demande….polie !