A 33 ans de l’échéance 2050, alors que nous sommes invités à réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre, les outils pour définir les plans d’action restent artisanaux. Les ingénieurs, comptables, ou politiques, qui conçoivent le monde de demain, utilisent encore trop peu l’open data et l’intelligence artificielle. Pourtant, l’exercice est trop global et trop complexe pour
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