Dans son dernier rapport annuel, le World Energy Outlook 2017, l’Agence Internationale de l’Energie (AIE), fait l’hypothèse, à l’aide de son scénario central d’un net ralentissement de la croissance de la demande mondiale d’énergie primaire : elle ne croîtrait que de 2% par an (elle baisserait en Europe et très légèrement aux Etats-Unis et croitrait fortement en Asie, de près de 50%, et
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