Dans une Italie confinée à cause du nouveau coronavirus, la pollution de l'air diminue, un phénomène que l'on retrouve dans le reste de l'Europe, a indiqué mercredi l'Agence européenne de l'environnement (EEA). A Milan, la capitale économique italienne, la concentration de dioxyde d'azote (NO2), un gaz produit principalement par les véhicules et les centrales thermiques et pouvant causer une inflammation
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