Taxonomie: le nucléaire n’est « ni durable, ni économique » affirme Berlin

Le nucléaire, générateur de déchets, n’est pas une énergie « durable » ni « économique », a déclaré jeudi le secrétaire d’Etat allemand pour l’Environnement Stefan Tidow, Berlin s’opposant à Paris sur l’inclusion de l’atome dans la taxonomie européenne, la liste des investissements « verts ».

« Ce n’est pas une énergie verte, ni durable. La question de la gestion des déchets n’est pas résolue: ce n’est pas économique non plus », a affirmé M. Tidow devant la ministre française de la Transition écologique Barbara Pompili, à son arrivé à Amiens pour une réunion des ministres européens de l’Environnement.

Berlin s’oppose farouchement à l’inclusion du nucléaire dans le projet de labellisation verte (« taxonomie ») dévoilé fin décembre par la Commission européenne. Les Etats membres ont jusqu’à vendredi pour réclamer des modifications, avant la publication du texte final.

« Nous allons d’abord faire comprendre que nous trouvons difficile l’inclusion de l’énergie nucléaire. Puis la Commission fera sa proposition (finale). C’est à ce moment-là qu’on se positionnera (pour la suite du processus), nous réagirons », a expliqué Stefan Tidow.

Le texte final de la Commission sera considéré définitivement adopté quatre mois après sa publication, sauf rejet par une majorité simple au Parlement européen ou par une majorité qualifiée des Etats (soit 20 Etats, ce qui paraît hors de portée).

Le texte fixe les critères permettant de classer comme « durables » les investissements dans les centrales nucléaires et à gaz, avec pour objectif d’orienter les investissements privés vers les activités contribuant à réduire les gaz à effet de serre.

La France, confrontée à un mur d’investissements pour relancer sa filière nucléaire (source d’énergie stable et décarbonée), et des pays d’Europe centrale, comme la Pologne, qui doivent remplacer leurs centrales à charbon très polluantes par des centrales à gaz, soutiennent la proposition.

« La Commission a présenté un texte d’équilibre, de compromis. Evidemment, certains pays ont des points (de désaccord), ça fera l’objet de discussions (…) Nous ferons un bon travail ensemble », a commenté à Amiens Barbara Pompili, alors que Paris occupe depuis janvier la présidence tournante de l’UE.

« Je ne pense pas que ce sujet pèse sur les relations franco-allemandes. Nous avons chacun nos intérêts particuliers, cela est normal », a abondé M. Tidow.

Quelques pays, Autriche, Luxembourg et Allemagne en tête, ont farouchement bataillé pour exclure l’atome, Vienne dénonçant notamment « une énergie trop onéreuse et trop lente » pour contrer le changement climatique.

« Le nucléaire est une énergie décarbonée. On ne peut pas s’en priver au moment où nous devons baisser très rapidement nos émissions (…) Quand nous aurons les solutions de stockage (pour les énergies renouvelables intermittentes), la question pourrait se poser autrement », a répliqué jeudi Barbara Pompili.

commentaires

COMMENTAIRES

    • Barbara Pompili a même déclaré, elle qui était anti nucléaire, devant la réalité de la physique :
      « Le nucléaire est une énergie décarbonée. On ne peut pas s’en priver au moment où nous devons baisser très rapidement nos émissions (…) Quand nous aurons les solutions de stockage (pour les énergies renouvelables intermittentes), la question pourrait se poser autrement »
      Ce qui est évident, et que notre inusable Rochain conteste, irrémédiablement pro gaz !!!

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      • Menteur comme Guéret ça n’existe pas. Il essaie de faire croire que j’e dis que je nucléaire est une énergie carbonée trouvez moi le message ou j’ai écrit ça !
        Ce que je dis du nucléaire c’est qu’il n’est pas une énergie pilotable, mais un producteur constant qui ne peut pas être utilisé en suivi de charge comme on le fait avec l’hydraulique ou le gaz.
        Il n’a ni la réactivité nécessaire sur le court terme ni l’endurance nécessaire sur le long terme. Et j’ai maintes fois expliqué pourquoi.
        Vous n’êtes qu’un lenteur manipulateur perfide.

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  • … Et que les vendeurs d’eoliennes pour approuver.
    L’Allemagne, le modèle de production d’électricité à ne pas suivre.

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  • En 20 ans, la capacité nucléaire mondiale en activité a augmenté d’à peine 10,5 %, bien que cela soit artificiel puisqu’une vingtaine de réacteurs japonais sont en réalité en « arrêt long terme » depuis dix ans.

    La production d’électricité nucléaire mondiale en 2019 était seulement supérieure de 10,8 % à ce qu’elle était 20 ans plus tôt (en 1999). Elle était encore inférieure à son maximum de 2006. Et bien sûr inférieure en 2020 et probablement en 2021.

    Ainsi, il ne faut pas compter sur le nucléaire pour remplacer les fossiles dans la production d’électricité. Surtout avec leur coût supérieur à celui des énergies renouvelables.

    En France, c’est plus de 60 €/MWh en coût réel pour le nucléaire ancien (Cour des comptes) et 120 €/MWh pour l’EPR (Flamanville et Hinkley Point).

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    • Ma chère Marguerite, parler du coût de l’électricité issus d’une source non pilotable n’a aucun sens, puisque vous devez compléter par une source pilotable, par exemple centrale à gaz, ce qui augmente considérablement le coût du kW issu de ce mariage.
      Et se mettre à la merci du gaz russe n’est pas très sympathique.

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      • Monsieur Guéret, vous avez pourtant été prévenu de ne pas vous livrer à des familiarités inappropriées.

        N’ayant jamais eu besoin de le faire, nous n’avons pas gardé les cochons ensemble.

        Veuillez cesser ces familiarités déplaisantes.

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  • J’espère que les eurolâtres naïfs et autres écolos et anti nucléaires de tout acabit vont ouvrir les yeux sur la stratégie de l’Allemagne, qui est pourtant évidente.
    L’énergie est le moteur essentiel de l’économie, et ce qu’elle n’a pu obtenir par la voie militaire malgré deux tentatives, à savoir la domlnation de l’Europe continentale, elle cherche à l’obtenir par la voie économique. D’où son acharnement à s’opposer à la production d’électricité par la voie des centrales nucléaires, seule capable de faire le poids vis à vis d’un mix centrales à gaz et énergies renouvelables, et donc essentielle pour la souveraineté de la France. Pour le gaz, elle va tenir le robinet pour l’Europe, via Nord Stream 2, d’où sa volonté à obtenir envers et contre tout (même les USA !) de le voir se terminer. On nous dira que cela dépendra de la bonne volonté de la Russie ; évidemment non, car celle-ci a bien trop besoin de la ressource que lui procurera la vente de gaz à l’Europe. Pour le renouvelable, l’Allemagne détient des positions très importantes dans l’éolien, qui est la seule véritablement plausible (le photovoltaïque en Finlande et en Suède, on repassera !), en exluant évidemment les scénarios imbéciles à la Jadot prétendant possible le 100¨% renouvelable.
    Il semble que Macron, malgré son eurolatrie de plus en plus évidente quoique surréaliste ait vaguement pris conscience de la portée de cette question.
    Il est essentiel sur ce point de s’opposer « quoiqu’il en coûte » (sic) à nos « amis » allemands et à ignorer si besoin les décisions européennes pour rester maîtres de notre destin.

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    • @Brun: je pense que l’Europe dépend davantage de la Russie que l’inverse.
      La Russie pourrait vendre davantage de gaz à la Chine et les autres pays asiatiques, dont la demande d’énergie va augmenter.
      Il me semble que c’est surtout l’Allemagne qui a besoin de beaucoup de gaz pour remplacer le charbon, en back-up des ENR et en espérant introduire une part de biogaz de plus en plus importante.

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    • Entièrement d’accord avec vous, nous avons pourtant une histoire longue et pas du tout tranquille avec nos « amis » allemands desquels nous devrions être beaucoup plus vigilants et moins naïfs concernant leur stratégie de domination de l’Europe.
      Pour le seul sujet de l’énergie du Gaz qui va conditionner largement leur avenir industriel et économique il faut se souvenir que l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder (https://fr.wikipedia.org/wiki/Gerhard_Schr%C3%B6der) occupe depuis plus de dix ans un poste stratégique au sein de la filière gaz russe.
      La France doit donc conserver son avantage nucléaire envers et contre tout pour avoir une chance de résister à notre grand « ami »: si la taxonomie des énergies renouvelables intègre le gaz (germano-russe) elle doit intégrer le nucléaire (franco-russe) !
      Un gagnant-gagnant en quelque sorte…

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    • Brun à propos des canulars récurrents sur l’Allemagne qui a même accéléré le développement des ENR suite aux dernières catastrophes climatiques et aux élections … alors que c’est bien la France qui vient de nouveau de se faire condamner pour son inaction contre la pollution, que c’est bien EDF / orano qui est de plus en plus souvent condamner par les tribunaux et que c’est bien de notre santé qu’il s’agit… QU’ILS CONTINUENT DE DEPANNER LA FRANCE COMME ILS LE FONT DEPUIS DES ANNEES eux agissent et se sortent de la pollution , des déchets ultimes et du Co² grâce aux ENR voila les résultats obtenus en 2020 … https://scontent-mrs2-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/268788662_10228094125283292_1252964583689158665_n.jpg?_nc_cat=103&ccb=1-5&_nc_sid=dbeb18&_nc_ohc=t5IZXOjarQAAX9wCW9P&_nc_oc=AQko9zzkaezxhnUwNtdZCccd2dz99MAn1Fww9RvJywOYpxi2IRVICLSIR_yv_OUvSMbQWwKEX3cK0wRNMEThn3Ca&_nc_ht=scontent-mrs2-1.xx&oh=00_AT8RRsvKVa6QwqDAZmGKEeBJiCVfAzyvTMpflhCRY6yVeQ&oe=61EFFE18

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        • VICTOR la vérité, les faits , les retours de terrain , les bilans que tout le monde peut très facilement vérifier suite aux inepties récurrentes des trolls vous dérange toujours ? arrêtez de polluer avec des post qui n’apportent rien au sujet …

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          • Vous pensez vraiment apporter quoi que ce soit au sujet en ânonnant des suites de mots plus incongrus les uns que les autres …ça ne ma dérange pas, c’est plutôt maladif comme dialectique !

          • VICTOR RE Donc la vérité, les faits , les retours de terrain , les bilans que tout le monde peut très facilement vérifier suite aux inepties récurrentes des trolls vous dérange toujours ? et arrêtez enfin de polluer avec des post qui n’apportent rien au sujet … dites plutôt aux trolls stériles qu’ils arrêtent d’ânonner stupidement tous els vieux canulars périmés pour gogos et qu’ils apprennent enfin les bases du sujet en constatant enfin ce qui se fait déjà sur le terrain et qu’il faut accélérer de toute urgence : on en est plus aux blablas stériles de comptoir mais aux actions sur le terrain …

  • J’ajouterais après avoir lu plus attentivement l’article que l’argument soulevé par l’Autriche est, comme hélas c’est de plus en plus souvent le cas en politique, par des considérations que je qualifierais poliment de sentimentales, et non par la raison. Il n’est nullement dans l’intérêt de l’Europe de faire du zèle à un coût exhorbitant en matière de rejets de gaz à effet de serre supposés responsables du réchauffement climatique alors qu’elle n’en représente qu’une proportion ridicule par rapport à la Chine et aux USA, pour ne citer que ceux là. « Donner l’exemple » ? Admettons, mais sans tomber dans la stupidité !

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  • Le site allemagne-energies.com décrit de manière assez exhaustive l’évolution des choses en Allemagne.
    Sur l’éolien offshore en Allemagne, une limite:
    « Le nouveau gouvernement table sur 40 GW en 2035 et même sur une capacité d´au moins 70 GW d´éoliennes en mer en 2045 ce qui est à la limite de la faisabilité. Une étude publiée en 2020 /5/ conclut qu´une telle capacité prospectée dans la Baie Allemande de la Mer du Nord pourrait avoir, à cause de l´effet de sillage, un impact négatif sur le facteur de charge, un fait qui doit être pris en compte pour la planification future. »
    Il semble donc interdit d’installer des éoliennes offshore dans les eaux internationales. On peut imaginer que cela puisse évoluer à l’avenir.
    Concernant la baisse des capacités nucléaires et de centrales à la houille, cela impactera d’abord… la France, qui ne pourra plus compter systématiquement sur l’Allemagne (ni sur la Belgique) pour lui fournir de grandes quantités d’électricité lorsque son chauffage électrique fera stupidement exploser la demande. On imagine que l’Allemagne conservera les capacités pilotables suffisantes pour elle.
    L’Allemagne est donc maintenant au pied du mur, avec un objectif de 80% d’électricité renouvelable et 50% de chaleur renouvelable pour 2030, ce qui induit des quantités d’éolien, de solaire, de batteries et d’électrolyseurs extrêmement importantes à mettre en place…

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    • @Marc
       » ce qui induit des quantités d’éolien, de solaire, de batteries et d’électrolyseurs extrêmement importantes à mettre en place »
      Pour les batteries, je crains que les technologies actuelles soient incapables de répondre à la demande, vu la quantité gigantesque d’électricité à stocker dont on parle.
      Quant aux électrolyseurs, vu le rendement de 30% en passant par l’hydrogène, c’est illusoire.

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      • Hervé Guéret vous n'(avez toujours pas appris les baes du sujet : ce que sont les ENR …. donc vous venez de vous apercevoir que l’hydrogène à le même rendement que notre nucléaire qui produit des ..pertes réseau .. mai surtout l’hydrogène à base d’ENR nous sort aussi du fossile / charbon / pétrole… ce qui est urgent pour la plante , le climat , notre santé , contre la pollution , le Co² , les GES^.. et sert en plus de stockage pour les ENR prévisibles

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          • VICTOR RE Donc vous confirmez bien que la vérité, les faits , les retours de terrain , les bilans que tout le monde peut très facilement vérifier suite aux inepties récurrentes des trolls vous dérange toujours ? et arrêtez enfin de polluer avec des post qui n’apportent rien au sujet … dites plutôt aux trolls stériles qu’ils arrêtent d’ânonner stupidement tous els vieux canulars périmés pour gogos et qu’ils apprennent enfin les bases du sujet en constatant enfin ce qui se fait déjà sur le terrain et qu’il faut accélérer de toute urgence : on en est plus aux blablas stériles de comptoir mais aux actions sur le terrain …

      • Une analyse que je trouve intéressante, de la sortie du nucléaire en Allemagne: extraits:
        https://www.pourleco.com/monde/angela-merkel-et-la-sortie-du-nucleaire-politiquement-brillant-ecologiquement-contestable

        « Politiquement, la décision de la chancelière est un coup de génie. « La chancelière a saisi l’opportunité que représentait l’hystérie antinucléaire de l’opinion allemande après ‘Fukushima’ pour rassembler et créer un consensus national sur ce qui était devenu une question de société », écrit à l’époque Isabelle Bourgeois, experte de l’Allemagne.
        Angela Merkel prend de court des Verts en pleine ascension et remporte les élections législatives suivantes en 2013, avec son score le plus élevé. Climatiquement, la décision est beaucoup plus contestée. »

        « Sociologue du risque Valérie Arnhold, pour qui il est impossible de chiffrer correctement dans un modèle économique le coût d’un accident nucléaire.
        « Dans le cas de Fukushima, l’accident aurait pu être bien plus grave. À un moment donné dans la gestion de crise, il y a eu une crainte réelle d’une entrée en fusion des piscines, beaucoup moins protégées que le cœur du nucléaire. Si tel avait été le cas, on aurait pu avoir une évacuation de Tokyo. Dans ce scénario, c’est un point de non-retour qui est atteint pour un pays et une société avec des conséquences humaines et économiques majeures.
        Se demander s’il est acceptable ou non de rester dans l’énergie nucléaire sachant qu’un accident est possible, ne peut pas seulement relever de l’évaluation des risques ou du calcul coût bénéfice. C’est un choix citoyen qui doit être débattu et ne peut pas être réduit à une question d’experts. » »

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        • La décision de sortir du nucléaire était antérieur à Merkel et le résultat d’un référendum du début 2000 confirmé par le sentiment de rejet conséquence de Fukushima dont a bien profité Merkel je suis bien d’accord.
          Mais de la à dire que la décision est discutable sur le plan climatique je ne suis pas d’accord. L’Allemagne émettait plus de CO2 du temps ou le nucléaire était à son maximum que maintenant et tous les indicateurs sont meilleurs aujourd’hui comme en témoignent les statistiques officielles que vous connaissez…. Comme les connaissent les nucleophiles de ces forums qui préfèrent les oublier comme non conformes à leurs convictions.

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          • La rupture c’est 2011 il n’y a rien de nouveau. Et les ‘nouvelles capacités installées le sont en renouvelable… et ne remplacent pas que le nucléaire mais aussi le charbon.
            La différence de volume installé pour une production à peu près identique ne résulte que du facteur de charge son la technologie de production et n’est pas significative d’un quelconque intérêt.
            Ce qui compte c’est le coût de l’électricité produite. En bref le coût du MWh produit et le débat est là !

          • Tout est possible, effectivement, si on y met le prix, aux alentours de 500 milliards d’investissements, plusieurs fois le coût du parc nucléaire français pour un mix résultant au moins 8 fois plus élevé. Et une électricité, en Allemagne, deux fois plus chère qu’en France pour les consommateurs particuliers. Vous oubliez que la production brute totale a baissé depuis 2010, et mes exports nets aussi ces dernières années. Sinon le résultat serait encore moins bon.

          • Cochelin vous oublié toujours de préciser les bases … que si la France a pour le moment car c’est en train d’évoluer très vite un prix du kWh pas encore trop cher c’est que l’on a tout paye avec nos impôts depuis plus de 60 ans et que l’on va encore payé toujours plus cher des milliers d’année .de plus vérifiez que les Allemands avec un prix du kWh plus cher on des montants de factures moins élevés que les nôtres ? ou est l’erreur ? allez je vous aide regardez ce qu’ils ont sur leurs toits avec une météo moins favorable que la notre . et ce qu’est une maison passive .. voire positive .. et pendant ce temps la la France s’enfonce toujours plus dans la pollution et la production de déchets ultimes …

          • Pour ce qui est du cout vous sortez vos 500 milliards d’un chapreau mais moi je vous oppose ça :
            Les données du problème :
            Nucléaire :
            Cout EPR : 19,1 G€
            https://actu.fr/normandie/flamanville_50184/nucleaire-le-cout-de-l-epr-de-flamanville-reevalue-a-19-milliards-par-la-cour-des-comptes_34854444.html
            Délai de réalisation 2007 à 2022 : 15 ans
            Puissance de production théorique 1,65 GW Facteur de charge 75% (mais même à 100% sans maintenance ni rechargement d’uranium ni incidents…. Ça ne fera pas le poids. Noter que le facteur de charge du parc existant n’a été en 2020 que de 60,7%)
            Puissance réelle : 1,23 GW
            Production annuelle : 10,8 TWh

            Parc éolien :
            Coût d’une éolienne de 2 MW : 2,6 M€
            (https://www.pole-medee.com/2014/08/combien-coute-une-eolienne/)
            On peut donc construire 7346 éoliennes avec ce que coûte (a déjà couté sans produire) l’EPR de Flamanville.
            Facteur de charge moyen France de l’éolien : 26, 35 %
            https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_%C3%A9olienne_en_France
            Puissance théorique 14,7 GW, puissance réelle 3,9 GW
            Production annuelle : 34 TWh soit 3 fois plus que le nucléaire de l’EPR
            Ajoutez à cela que le parc peut produire au bout de 2 ans seulement, car moins de deux ans suffisent pour construire une éolienne et la raccorder. Aujourd’hui l’étape la plus longue de la construction d’une éolienne est représentée par les délais imposés par les recours juridiques systématiques.

            Ce calcul est confirmé par une autre méthode basée sur la production effective du parc actuel aboutissant aux mêmes conclusions.
            En 2020 la production électrique de la France a été de 500,1 TWh dont 7,9% d’éolien, soit une production de 39,5 TWh avec 8000 éoliennes. Une simple règle de trois nous montre qu’avec 7346 éoliennes dont le coût total correspond à celui de l’EPR, la production aurait été de 36 TWh soit 2 TWh de différence
            Ajoutez à cela que le parc peut produire au bout de 2 ans seulement, car moins de deux ans suffisent pour construire une éolienne et la raccorder. Aujourd’hui l’étape la plus longue de la construction d’une éolienne est représentée par les délais imposés par les recours juridiques systématiques.

            Le coût du MWh solaire ayant rejoint celui de l’éolien depuis 2018 le résultat est le même pour le solaire

            Il faut estimer le coût du stockage si tant est qu’il faille stocker, car le stockage est un fantasme inventé par le nucléaire, qui ne sachant pas quoi faire de son électricité la nuit, la stocke sous forme de chaleur dans les millions de m3 d’eau sanitaire. Il suffit par ailleurs de consulter systématiquement les courbes fournies par RTE pour voir que part vent fort l’éolien (bien qu’encore très mal réparti en France) la production est jusqu’à 5 fois celle du vent moyen au niveau duquel il « faudra » équipé le parc pour qu’il fournisse le besoin dans le mixe qui lui aura été assigné. En conséquence par vent fort il y aura une puissance colossale à stocker avec cette électricité quasi gratuite ce qui rendra probablement intéressant le stockage H2 malgré la piètre conversion E->H2->E de 40% au mieux. Ajoutez que dans les ENR le biogaz est dans un état stocké dès sa production et son potentiel, peu développé en France (1,8 % du mixe électrique) qui l’est 5 fois plus en Allemagne, permettrait d’alimenter exclusivement par ce moyen le pays par temps calme et couvert anticyclonique durant 3 mois au moins chaque année avec la méthanisation des simples déchets agricoles. Actuellement l’Allemagne dont le biogaz représente déjà 8,4% du mixe électrique peut assurer son besoin électrique à 100% par cette source 1 mois par an. N’oubliez pas non plus les ENR pilotables, avec les solutions marémotrices, les hydroliennes, les houliennes, ainsi que l’hydraulique de barrage qui marche déjà fort bien, ou encore la géothermie. Ces ressources peuvent ne pas rendre nécessaire le stockage d’excédents éoliens et suffire à couvrir les périodes de productions faibles des variables lorsque les puissances installées de ces dernières seront suffisantes et suffisamment bien reparties pour avoir un effet foisonnement de compensation ….. autant de solutions qui rendent ridicule l’insistance des nucléophiles sur le caractère intermittent lui aussi ridicule puisqu’il s’agit de variabilité et pas d’intermittence qui est le « tout ou rien » présenté aussi de façon toute aussi ridicule comme aléatoire, avec une météo datant de l’âge de la hache de pierre, peut-être, mais plus aujourd’hui. Il y a beau temps que l’on sait ce que le vent attendu demain va produire, et où (façade maritime Nord, Ouest, Sud ? Et dans l’intérieure même chose). La même météo va aussi nous donner la couverture nuageuse et…. Il est temps de revenir au XXI e siècle au lieu de bétonner sur le XXe qui ne restera dans les esprits que le siècle du pillage de la Terre alors que le XXIe se forgera l’image du siècle du recyclage car les matériaux extraits du sol pour capter l’énergie solaire de façon directe ou indirecte ne sont pas transformés en chaleur et seront indéfiniment recyclés avant de retourner à la Terre quand les outils qui les utilisent seront devenus obsolète et qu’ils n’auront pas d’emploi dans leurs successeurs.
            Mais le cas échéant, s’il fallait stocker en batterie Li-ion. Le cout du KWh de Li-ion est à aujourd’hui de 140 euros et supporte 3000 cycle de charge décharge en utilisation automobile et 5000 en stationnaire ce qui ramène le coût du KWh de stockage à 140/5000 = 0,028 €

          • Je ne sais pas si, au final, ça changera grand-chose au niveau climatique car l’U235, le gaz fossile et le pétrole sont des énergies bien trop pratiques pour qu’elles ne soient pas utilisées jusqu’à la fin, quand bien même cela détruirait la planète.
            Donc, la sortie du nucléaire de l’Allemagne fera un peu plus d’U235 pour les autres et un peu moins de gaz.
            Sur l’aspect économique, la sortie du nucléaire avant la fin de vie de réacteurs qui aurait pu être prolongée est particulièrement discutable. Maintenant, si le peuple refuse, à tort ou à raison, de prendre le risque absolu d’un accident qui pourrait causer des centaines de milliards d’euros de dommages, c’est encore un autre facteur.
            La sortie du nucléaire permet aussi à l’Allemagne de conserver plus longtemps le lignite dans lequel elle a d’importants intérêts et d’avoir davantage de flexibilité dans l’intégration des ENR, et de ne sortir du lignite que lorsque les conditions pour le développement massif du stockage (batteries, hydrogène) seront réunies, pour une reconversion du personnel, ce qui devrait pouvoir arriver dans les années à venir.

        • Merkel a donc fait de la politique sur le dos d’un événement pour gagner des élections à un moment donné.!
          Puis les choses ont continué ds le même sens et on en voit le résultat maintenant …
          Et c’est pas fini avec ceux qui sont au pouvoir qui prennent le mors au dents dans un sens qui va les faire chuter.!
          Comme quoi le coup de génie politique peut à terme devenir mortifère.
          Dans un autre commentaire je vs avais déjà dit que les politiques (même Allemands) ne pensent qu’à se faire réélire et s’en tape du devenir de leur population ! Pour moi on est loin, comme vs dites, du « choix citoyen qui doit être débattu et ne peut pas être réduit à une question d’experts » .
          Attention à l’habillage de la démocratie qui n’en est pas une !

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          • Je ne fais que citer des personnes qui font une analyse qui me semble intéressante pour comprendre cette décision prise par l’Allemagne. Personnellement, je n’oserai pas employer des mots comme « coup de génie politique »…

      • Les grands défis pour l’Alleamgne c’était en 2011 et depuis ils ne sont pas morts, n’ont pas fait faillite, et on diminués leurs émissions de CO2 (et eux, pas par hasard), ainsi que leur consommation de charbon et le pillage des ressources de la planète de ses ressources transformées en chaleur. Les grands défis ils les ont donc relevé et victorieusement, il ne leur reste plus qu’à continuer sur leur lancée.

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  • La filière vise 40% de rendement pour le PGP, davantage si l’hydrogène est utilisée en cogénération.
    Les ENR ont tout de même un avantage, c’est qu’un parc éolien ou PV n’engage que sur 20-30 ans.
    Si une meilleure solution nucléaire est disponible d’ici-là, il suffira de passer à autre chose.
    Les ENR ont l’avantage de limiter le recours aux fossiles, même lorsqu’elles ne bouclent pas la boucle.
    Quant aux RNR, on verra ce que réalise la Chine, mais il faudra un certain nombre d’années avant de s’assurer qu’un réacteur puisse être produit en série car divers prototypes ont été mis en place depuis longtemps: ça marche et puis au bout de quelques mois, toujours un problème quelque part qui oblige à arrêter le réacteur…
    Monju, le frère japonais de Superphoenix en plus petit, a connu à peu près la même histoire et la même fin.
    https://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2016/12/22/le-japon-met-fin-au-projet-monju-un-surgenerateur-devenu-gouffre-financier_5052684_3216.html
    3,1 Mds € de démantèlement pour 280 MW de puissance, ça correspond quand même à 11 Mds € le GW…

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  • Fin 2001 et fin 2002, la capacité nucléaire était de 21,28 GW en Allemagne. La production de 2002 était à 28,1 % nucléaire, à 22,9 % charbon et 26,9 % lignite, pour 7,9 % de renouvelable (2,7 % éolien et 0,0 % solaire).

    La loi sur les énergies renouvelables date d’avril 2000. Celle sur la sortie du nucléaire, en 2022, date de février 2002, suite à près de deux ans de négociations.

    En septembre 2010, le gouvernement conservateur à voulu repousser de 12 ans la sortie du nucléaire. La loi n’a pas eu le temps de passer devant les deux chambres.

    Comme l’on sait, la sortie du nucléaire en 2022, comme prévu à l’origine, a été confirmée à la suite de Fukushima.

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  • Selon le prix respectif du charbon et du gaz, l’un ou l’autre est privilégié.

    En Allemagne, si le charbon ET lignite a augmenté de 25,3 TWh entre 2010 et 2013, cela n’a rien à voir avec l’arrêt de huit réacteurs, dont deux en panne depuis plus de trois ans, le facteur de charge des six autres étant d’à peine 65 %.

    La raison est une baisse de la production au gaz de 21,8 TWh. Les renouvelables ont progressé de 47,1 TWh, plus que la baisse du nucléaire de 43,3 TWh.

    Personne n’est venu critiquer la Grande-Bretagne dont la production d’électricité au charbon a augmenté de 34,6 TWh et 32 % à la même époque, avec baisse pour le gaz. Bizarre, comme c’est étrange ! Drôle de drame.

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    • Cochelin ça n’empêche pas qu’ile sont bien conscient qu’il faut qu’ils accélèrent la mise en place des ENR un extrait de votre lien : « …. Les projets phares du tournant énergétique allemand en 2021 :

      Taxe carbone sur les émissions des produits combustibles non couverts par le Système Européen d´Échange de Quotas d´Émissions ;
      Avenant à la Loi sur les Énergies Renouvelables (EEG 2021) visant une part des énergies renouvelables de 65% à la consommation brute d´électricité d´ici 2030 ;
      Avenant à la Loi sur la Protection du Climat pour un durcissement de l´objectif climatique (neutralité carbone en 2045) ;
      Contrat de coalition du nouveau gouvernement visant entre autres une part des énergies renouvelables de 80% à la consommation brute d´électricité et 50% de la chaleur produite de manière climatiquement neutre d´ici 2030 ;
      Arrêt de 3 centrales nucléaires et 6 centrales à charbon fin 2021 …. »

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  • Beaucoup de projets mais beaucoup de dépenses, en centaines de milliards d’euros vraisemblablement, qui se répercuteront sur les consommateurs. Attendons pour voir. En attendant, encore beaucoup de charbon et de gaz en vue. Autrement plus que la France.

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    • Vous vous interessez beaucoup à l’Allemagne Cochelin, beaucoup plus qu’à la France, mais surtout pour douter de leurs capacités. Pourtant, les grands défis pour l’Allemagne c’était en 2011, et depuis ils ne sont pas morts, n’ont pas fait faillite, et on diminués leurs émissions de CO2 (et eux, pas par hasard), ainsi que leur consommation de charbon et le pillage des ressources de la planète pour ses ressources transformées en chaleur. Les grands défis ils les ont donc relevé et victorieusement, il ne leur reste plus qu’à continuer sur leur lancée, et je suis bien moins inquiet que vous sur l’avenir, leur avenir, et beaucoup plus inquiet pour le notre.

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      • Rochain
        Adressez vos commentaires à Marguerite, obsédée par l’Allemagne qui a, certes, fait quelques efforts, mais à quel prix et pour un résultat encore bien médiocre. Vous vous trompez de cible. Et l’Allemagne ne risque pas le black-out tellement son parc pilotable thermique est important et très sollicité pour ses besoins propres, en dehors d’une petite exportation vers la France.

        Répondre
        • COCHELIN RE : à propos des canulars récurrents sur l’Allemagne qui a même accéléré le développement des ENR suite aux dernières catastrophes climatiques et aux élections … alors que c’est bien la France qui vient de nouveau de se faire condamner pour son inaction contre la pollution, que c’est bien EDF qui est de plus en plus souvent condamner par les tribunaux et que c’est bien de notre santé qu’il s’agit… QU’ILS CONTINUENT DE DEPANNER LA FRANCE COMME ILS LE FONT DEPUIS DES ANNEES eux agissent et se sortent de la pollution , des déchets ultimes et du Co² grâce aux ENR voila les résultats obtenus en 2020 …https://scontent-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/272093020_10228303122788099_646424846131540335_n.jpg?_nc_cat=110&ccb=1-5&_nc_sid=dbeb18&_nc_ohc=R7pEhvSa4QEAX9ongG4&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=00_AT-a8eSf8GoYCwaXAQ8WtDLJ8MM9rq0krSFMD1MZAH_24g&oe=61F16022

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        • Tellement son parc de fossiles pilotable est important ? Il l’est de moins en moins et beaucoup moins que ce qu’il était à l’poque où l’Allemagne etait à son maximum en nucléaire. Alors vos raisonnements ne tiennent pas :
          Moins de nucléaire c’est moins de fossiles en Alleamgne et cela depuis 2011 !

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          • L’Allemagne a diminué un peu la capacité de son back-up et a remplacé cela par un usage plus important des interconnexions avec la Scandinavie, où elle utilise soit le foisonnement éolien soit les barrages norvégiens et suédois.
            L’Allemagne n’a pas non plus à conserver un back-up trop important pour pouvoir fournir la France en toutes circonstances, à cause de sa débilité de chauffage électrique classique. De toutes manières, en cas de coup de froid, même un maximum d’importations d’Allemagne ne suffira pas.

          • Parler de l’importante reserve pilotable fossile de l’Allemagne ne tient pas car depuis 2011 elle a diviser par deux sa consommation de charbon+lignite et le gaz est esté constant. ! Cochelin vit dans une réalité qu’il s’est inventée.

          • Il me semble n’avoir jamais vu de période peu ventée, en automne / hiver , depuis l’Allemagne jusqu’au Nord de la Norvège et de la Suède. Les interconnexions sont coûteuses, mais sans doute moins que de devoir stocker à 30-40% de rendement et de conserver une importante capacité de back-up.
            Le potentiel éolien offshore en Scandinavie est colossal, et le foisonnement est important entre la Mer du Nord, la Baltique et la cote norvégienne centre et Nord.
            L’Allemagne va également avoir une nouvelle connexion directe avec le RU et une autre entre le RU et le Danemark qu’elle pourra utiliser indirectement.
            Et la France devient calamiteuse, tant au niveau du nucléaire que des ENR et que bien d’autres choses…

          • L’Allemagne possède encore un parc thermique à flamme de près de 80 GW !

          • Cochelin, on se moqiue bien de leur état de fortune….. ce qui est important c’est que la production d’électricité à partir des charbons et lignite a été divisé par deux en 10 ans et qu’ils poursuivent sur le même chemin et il importe peu qu’ils possèdent des centrales à charbons dont ils ne se servent pas, celà souligne simplement leur prudence.
            Les QAutrichiens ont bien construit un réacteur nucléaire dont ils ne se sont jamais servi ! Vous allez leur reprocher de l’avoir ou de l’avoir transformer en musée ?

  • Je pense également que la France aura davantage de problèmes que l’Allemagne.
    D’ailleurs, elle est déjà en blackout potentiel en cas de léger coup de froid.
    Le problème ne me semble pas tant « le nucléaire » que l’état de la filière française.
    https://actu.fr/normandie/flamanville_50184/nucleaire-la-cuve-de-l-epr-de-flamanville-est-elle-mal-concue_48067014.html
    et l’état de la filière des ENR également avec notamment une concentration de l’éolien sur une petite partie du territoire, et vu le nombre de projets en cours, cela va malheureusement perdurer, même avec quelques parcs offshore (cf bilan électrique France du SER au 30/09/2021).
    Si les prix des ENR restent ce qu’ils sont, le gaz de synthèse va devenir moins cher que le gaz fossile, au moins dans certains pays comme l’Espagne et la boucle sera bouclée.

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    • En lisant l’article je lis qu’il aurait été suggéré (par qui ?) de ne faire fonctionner l’EPR qu’à 60% de sa puissance. C’est certainement une sottise qui restera sans suite, car diminuer la puissance d’une réacteur conçu pour produire une puissance X consiste à diminuer la durée de vie de son chargement en barres de controle, ce qui pose d’ailleurs bien des problèmes lorsque l’on cherche à utiliser ces dispositifs dans les opérations de suivi de charge comme actuellement, avec encore deux réacteurs à Gravelines sur la touche oour cette raison. Faire fonctionner à vie un réacteur en mode bridé est un non sens.

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  • Cela a déjà été dit, mais le répéter ne fait pas de mal. La précision est toujours préférable à de vagues propos démodés.

    En 2020, pour un utilisateur résidentiel moyen consommant de 2.500 à 5.000 kWh par an, le prix de l’électricité toutes taxes et contributions diverses comprises, était supérieur de 57,1% en Allemagne par rapport à la France. Ecart moindre qu’en 2010 où il était de 82,8%.

    Pour le prix hors taxes et contributions diverses (seulement fourniture, transport et distribution), l’écart s’est réduit de 42,2% en 2010 à 13,7% en 2020.

    Entre 2010 et 2020, le prix toutes taxes et contributions a augmenté de 46,2% en France et de 25,7% en Allemagne.

    Pour le prix de la fourniture, du transport et de la distribution uniquement, le prix a augmenté de 31,0% en France et de seulement 4,7% en Allemagne (mêmes dates).

    On peut constater les données Eurostat et en tirer les conclusions.

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  • Cela a déjà été dit, mais le répéter ne fait pas de mal. La précision est toujours préférable à de vagues propos démodés.

    En 2020, pour un utilisateur résidentiel moyen consommant de 2.500 à 5.000 kWh par an, le prix de l’électricité toutes taxes et contributions diverses comprises, était supérieur de 57,1% en Allemagne par rapport à la France. Ecart moindre qu’en 2010 où il était de 82,8%.

    Pour le prix hors taxes et contributions diverses (seulement fourniture, transport et distribution), l’écart s’est réduit de 42,2% en 2010 à 13,7% en 2020.

    Entre 2010 et 2020, le prix toutes taxes et contributions a augmenté de 46,2% en France et de 25,7% en Allemagne.

    Pour le prix de la fourniture, du transport et de la distribution uniquement, le prix a augmenté de 31,0% en France et de seulement 4,7% en Allemagne (mêmes dates).

    On peut constater les données Eurostat et en tirer les conclusions.

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  • Précision. Le prix de l’électricité en Allemagne est tellement élevée que beaucoup se chauffent au gaz, ou au fioul, ou au charbon. La consommation d’électricité par habitant est donc plus faible.
    Le prix de l’électricité pose aussi beaucoup de problèmes là-bas aussi à telpoint que la décision de réduction de la taxe EEG est reportée. https://www.tagesschau.de/wirtschaft/eeg-umlage-129.html

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    • Cochelin RE : vous oublié toujours de préciser les bases … que si la France a pour le moment car c’est en train d’évoluer très vite un prix du kWh pas encore trop cher c’est que l’on a tout paye avec nos impôts depuis plus de 60 ans et que l’on va encore payé toujours plus cher des milliers d’année .de plus vérifiez que les Allemands avec un prix du kWh plus cher on des montants de factures moins élevés que les nôtres ? ou est l’erreur ? allez je vous aide regardez ce qu’ils ont sur leurs toits avec une météo moins favorable que la notre . et ce qu’est une maison passive .. voire positive .. et pendant ce temps la la France s’enfonce toujours plus dans la pollution et la production de déchets ultimes …

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    • Cochelin… mieux vaut se chauffer au gaz, au fioul ou au charbon à 80% de rendement qu’à l’électrique qui vient de ces mêmes sources à 30% de rendement pour le charbon et le fioul et 55% pour le CCG + pertes réseau…
      Comparons le prix « électricité + chauffage » et voyons quelle est la différence entre la France et l’Allemagne…

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    • Ainsi que vous faites semblant de l’ignorer en Allemagne cesont les taxes (qui incluent les retraites des anciens mineurs dont la caisse de retraite est en faillite faute de cotisants, ainsi que les indemnités versées aux exploitants des mines pour fermetures anticipées) qui sont élevées et pas l’électricité dont les coûts de production sont moins élevés qu’en France comme en attestent les staitistiques officielles voir page 9 figure 3 :
      https://www.connaissancedesenergies.org/sites/default/files/pdf-pt-vue/Rapport%20Union%20de%20l%27%C3%A9nergie%202020.pdf

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    • Encore une information fausse, en croyant que celle-ci passera auprès du plus grand nombre, ceux qui ne lisent pas l’allemand. Tactique habituelle du supposé germanophone.

      La réduction de la contribution EEG n’a pas été repoussée. Un premier pas a été fait au 1er janvier 2022, la suppression totale étant prévue pour le 1er janvier 2023.

      A côté de cela, un chèque énergie est prévu pour les ménages les plus modestes, comme en France.

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  • @ marc, je trouve que vous manquez de butée gyroscopique
    Pour vos propos et ce que j’ai mis entre guillemets je dis: « des chiffres des chiffres » ouai !
    Toujours vos mêmes désirs mais c’est vrai vs êtes en bonne compagnie !
    Il me « semble » n’avoir jamais vu de période peu ventée, en automne / hiver , depuis l’Allemagne jusqu’au Nord de la Norvège et de la Suède. Les interconnexions sont coûteuses, mais « sans doute moins » que de devoir stocker à 30-40% de rendement et de conserver une importante capacité de back-up. .
    C’est vrai le back-up ne sert à rien qd on mise sur l’interconnexion ! Mais combien coûte un black-out d’une journée au niveau d’un pays qd l’interconnexion fait faux bond?
    Le potentiel éolien offshore en Scandinavie est colossal, et le « foisonnement » est important entre la Mer du Nord, la Baltique et la cote norvégienne centre et Nord.
    Je sais par expérience que compter sur les autres qd on est ds le besoin c’est risqué. Voir la fable de la cigale et la fourmi.
    Et j’aime bien aussi « charbonnier doit rester maitre chez soi . C’est du GBS (Grand Bon Sens)..

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    • Michel DUBUS pour rappel c’est bien l’Allemagne qui dépanne la France depuis des années … compter sur les autres qd on est dans le besoin c’est risqué. Voir la fable de la cigale et la fourmi. ….

      Répondre
    • MD: la réalité de la sécurité d’approvisionnement entre la France et l’Allemagne est totalement à l’opposé de ce que vous laissez entendre. La France serait dans le noir la moitié du temps depuis le mois de novembre sans le secours de ses voisins, et en particulier de ces « salauds d’allemands », alors que l’Allemagne a de la marge.
      Le back-up de l’Allemagne, qui a certes diminué est actuellement de: lignite: 20 GW, houille: 18, gaz: 30, fioul 5 = 73 GW + déchets, biomasse sur lesquels il y a un peu de marge.
      Lors de la pire journée de ce mois, elle a utilisé: lignite: 15, houille 12, gaz 15, fioul: 0, soit un total de 42 GW.
      Il lui restait 31 GW de marge, preuve qu’elle diminue son backup tout en gardant une marge très importante.
      Où est le « GBS »??

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    • MD: en ce qui concerne le foisonnement en Europe, demandez à SR.
      De mémoire, je n’ai vu aucune journée sans vent important de l’Allemagne jusqu’au N de la Norvège, et de la Suède en automne / hiver. (et en plus, ces pays ont des réserves hydrauliques importantes).
      Mais si jamais vous en trouvez une, signalez-le !
      Ne vous inquiétez pas pour l’Allemagne, elle est infiniment plus prudente et plus « fourmi » que la France.
      Idem pour l’Espagne et le RU, qui, à leur échelle, ont également beaucoup de marge.

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      • @Marc
        Je dispose d’une collection de cartes vents de MétéoFrance de chaque jour à 13h en hiver et 14 heures en été depuis début janvier 2021 et je la cintinue.
        Depuis le premier janvier 2022 je commence la même collection pour l’Europe.

        Mais déjà rien que pour la France, (incluant la zone littorale sur 50Km ) en 2021 il n’y a eu que 4 jours avec de vent nulle part (inferieur à 18KMh), 9 jours où il n’y avait qu’une zone ventée sur tout le territoire (de tailles variables, mais contrastant avec le reste du pays).

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  • MD: ordre de grandeur du GW d’éolien offshore: 4 Mds €
    ordre de grandeur d’une liaison de 1 GW entre l’Allemagne et la Norvège: 2 Mds €.
    1 GW offshore en Allemagne + 1 GW offshore en Norvège coûtent 8 Mds € sans l’interconnexion et 10 Mds € avec l’interconnexion.
    En gros, si chaque parc devait stocker à 30% de rendement de quoi couvrir 30% des besoins, il faudrait multiplier les ordres de grandeurs de coût par 2. On serait à un coûte 16 GW contre 10 GW avec l’interconnexion.
    Evidemment, cela est très approximatif, mais on est à peu près dans ces ordres de grandeurs-là.

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  • Marc
    Nos voisins, contrairement à nous, sont plus prudents en conservant (et en utilisant) un gros parc thermique fossile qui leur coûte et le facturent bien à leurs consommateurs. Ne cherchez pas plus loin !

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    • Cochelin vous continuez avec les vieux canulars alors que l’on vous a déjà prouve que ce sont bien les ENR qui évitent de faire démarrer trop souvent voire font fermer les centrales thermiques déjà en place et tout le monde peut très facilement le vérifier … regardez vos factures car vous commencez à peine à payer le vrai cout du nucléaire en plus de ce que l’on a déjà payé avec nos impôts depuis plus de 60 ans et que l’on va encore payer toujours plus cher des milliers d’année .. mais pas moi sur la facture car mon fournisseur d’électricité n’achète rien à EDF / Arenh…

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      • Vous ne trouverez pas un de mes messages où je nie les statistiques officielles. Je constate que la courbe n’évolue plus aussi linéairement que dans le passé, que cela a coûté fort cher, qu’il est oublié, dans ces données, la baisse de la consommation nette (qui réduit aussi le recours au thermique fosile) et la baisse des exports nets depuis quelques années. Il n’y a pas de dogme derrière tout cela. C’est le choix de l’Allemagne. La France en a fait un autre.

        Répondre
    • Cochelin sortez vous enfin des vieux canulars périmés pour gogos et ouvrez les yeux sur le réel du terrain : vous nous ressassez les vieux chiffres tronqués au départ et obsolètes en oubliant toujours que le probleme ce n’est pas l’électricité mais l’énergie et vous le sauriez si vous étiez de bonne foi … .. oui le prix du kWh que je paye est un peu plus cher qu’avec EDF pour le moment mais je sais ce que je finance et l’écart se resserre de plus en plus car je ne subit plus les rattrapages rétroactifs et les augmentations que vous subissez en finançant cette gabegie polluante de nucléaire ..

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    • Les courbes des tatistiques officielles sont donc de mauvaises fois, selon Cochelin, pour lui électricityMap dit toute sa vérité et il y voit même le prix du KWh que nous payons ?

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  • Je n’ai pas écrit cela. C’est vous qui êtes de mauvaise foi. Je m’adressais à Isambert pour qu’il constate, chez nos voisins, l’importance de leur parc thermique fossile pilotable. La France a fait le choix de le restreindre de manière irresponsable. Nous sommes obligés, de temps en temps, de faire appel à nos voisins pour éviter le blackout.

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    • Faux Vous avez écrit qu’il se servent de cette puissance installée et je let’s enreponse L’URL du site qui montre que ll’e. Mploi du fossile diminue d’année en années, ce qui démontre qu’ils ne l’utisrnt que de moins en moins. En revanche nous en utilisons de p’us en plus, comme l’importation.

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          • Rochain
            Les cumulés sur un an ou plus sont possibles. Il suffit de vouloir le faire, et observer !

          • Vous voulez m’apprendre ce que je fais depuis bien plus longtemps et que vous ne comprenez toujours pas ?

          • Vous pourriez observer que, sur 12 mois glissants (décembre 2020 à novembre 2021) les échanges commerciaux se portent bien (49 TWh, la France reste le plus gros exportateur en Europe), le thermique fossile atteint 37,7 TWh, plutôt moins que les années précédentes, le nucléaire 363 TWh, un peu moins qu’en 2019 (379 TWh), mais beaucoup plus qu’en 2020 (335 TWh).

          • Oui car ceux-ci ont conservé un énorme parc thermique à flamme et que nous, en France, nous n’avons presque plus rien. En cas de besoin, oui nous importons. C’est le choix de notre pays. Mais c’est peu de chose en regard de la sollicitation du thermique fossile de nos voisins pour leur propres besoins intérieurs.

          • Cochelin encore une fois de plus vous oubliez les bases : la France pollue avec du fossile pour son énergie … l’électricité n’est qu’une partie de la pollution Française ..

          • Vous rabachez Cochelin, un jour c’est comme ça, un autre joutre c’est l’inverse…… ce qui compte c’est POUR LA Niem fois….. Le sens de la pente

          • Cochelin quand allez vous enfin parlez des vrais problèmes : donnez les chiffres de l’énergie en France au lieu de blablater stérilement sur ceux qui agissent et s’en sortent ..

          • Cochelin, il ne s’agit pas de la pente de la courbe sinueuse qui inclut toutes les variations comme les épiphénomène conjoncturels mais de la pente de la droite de régression qui caractérisés le résultat de la politique mise en action et qui gomme les phénomènes annecdotisues

  • @ Marc
    Vos chiffres et vos remarques sur les stats des vents ne valent rien quand il faut GARANTIR un back-up de 90 GW et 100 GW respectivement pour la France et pour l’Allemagne avec du pilotable Et ceci quels que soient les cas connus ou non connus. Même si le pape SR l’a dit ! Quelle référence vs avez !
    Concernant l’interconnexion pour un 100 % de renouvelables (intermittents), elle doit résulter d’un réseau revu et corrigé de fond en comble (sans résultat garantie sur son efficacité et sa tenue) et les sommes allouées ds sa globalité sont pharaoniques. Je vs engage à regarder les coûts ds le rapport RTE des pages 496 à 508 où on y retrouve réseau distribution & transport, flexibilité selon les scénarios. La flexibilité comprend les centrales gaz, STEP, Effacements, Batteries et Importation via l’interconnexion. Cette dernière ds scénario 100% renouvelables se monte à plus de 45GW , ce qui correspond à la puissance installée du nucléaire ds le scénario N03 avec 50 % de nucléaire ! UBU n’est pas loin.
    D’autre part suite à la réunion d’AMIENS sur la taxonomie on voit qu’au sujet de la transition énergétique la « guerre » entre états de l’Europe est en bonne voie et que plus que jamais « charbonnier maitre chez soi » c’est la sagesse voir du GBS.
    Ce que j’ai repris pour conclure et qui peut faire réfléchir :
    « L’Europe de l’énergie est une mascarade tant les situations des différents pays, énergétiques et politiques, et leurs stratégies de transition n’ont rien en commun. Du coup, quand il s’agit de tenter de définir un dénominateur commun cela devient impossible. Les égoïsmes nationaux et les considérations de politique intérieure prennent systématiquement le pas. Et ce n’est pas la Commission acquise au modèle allemand de transition par le tout renouvelable, qui ne fonctionne pas, qui peut tracer un chemin. D’autant plus, que la libéralisation du marché européen de l’électricité qu’elle a orchestrée depuis plus d »une décennie est un échec et n’est pas pour rien dans la flambée des prix enregistrée depuis des mois »…

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    • Michel DUBUS votre aveuglement vosu fait dire n’importe quoi : c’est bien les grosses puissances comme le nucléaire qui exigent le renforcement du réseau à outrance . apprenez enfin les bases du sujet car si certaines ENR sont prévisibles d’autres sont beaucoup plus pilotable que notre merde polluante de nucléaire très cher qui est de plus en plus intermittent et il n’y a plus que la France à s’enfoncer toujours plus dans la pollution et les déchets ultimes alors que le monde entier se sort de la pollution , du ,Co² , des GES.. grâce aux ENR et une fois de plus la réalité du terrain que tout le mode peut très facilement vérifier : RE : à propos des canulars récurrents sur l’Allemagne qui a même accéléré le développement des ENR suite aux dernières catastrophes climatiques et aux élections … alors que c’est bien la France qui vient de nouveau de se faire condamner pour son inaction contre la pollution, que c’est bien EDF qui est de plus en plus souvent condamner par les tribunaux et que c’est bien de notre santé qu’il s’agit… QU’ILS CONTINUENT DE DEPANNER LA FRANCE COMME ILS LE FONT DEPUIS DES ANNEES eux agissent et se sortent de la pollution , des déchets ultimes et du Co² grâce aux ENR voila les résultats obtenus en 2020 …https://scontent-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t39.30808-6/272093020_10228303122788099_646424846131540335_n.jpg?_nc_cat=110&ccb=1-5&_nc_sid=dbeb18&_nc_ohc=R7pEhvSa4QEAX9ongG4&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=00_AT-a8eSf8GoYCwaXAQ8WtDLJ8MM9rq0krSFMD1MZAH_24g&oe=61F16022

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  • Macron a eu raison d’attendre.
    Si les politiques avaient écouté les lobbyistes du nucléaire, sans attendre le retour de fonctionnement des EPR chinois, on ne se retrouverait pas avec 1 réacteur EPR qui ne marche pas, mais davantage.

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  • @ marc
    Très bonne réponse sur les réseaux et l’interconnexion ! Vs êtes comme les autres !
    Ne parlons pas de macron l’ado immature !
    Vs devriez qd même prendre le temps de lire le rapport RTE de 625 pages qui permet de comprendre entre autres comment les scénarii ont été décidés (j’en reparlerai ultérieurement)
    Je me demande aussi comment la CRE, RTE et ADEME qui, depuis 30 ans devraient diriger et participer à l’orientation de la politique énergétique de la France, aient pu être à ce point atone (le mal progresse de l’inaction des gens de bien). Ce qui est sûr c’est que sous hollande les politiques ont pris le pouvoir et liquidé les ingénieurs de ces Staffs afin de liquider le nucléaire

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    • Michel DUBUS la CRE, RTE et ADEME sont bloqués comme tous les autres par notre aveuglement pour le nucléaire qui nous enfonce toujours plus dans la pollution et les déchets ultimes alors que le monde entier s’en sort grâce aux ENR ..

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    • @Dubus.
      Les seuls ingénieurs qui ont été virés ce sont ceux qui ne savent pas compter.
      Soit, relançons le nucléaire !
      Les EPR sur lesquels nous comptions se montrent peu fiables pour ne pas dire inquiétant, et couteux (expérience sur les 4 premiers). Donc correction de tire sur la fiabilité et acceptation du nouveau projet et lancement dans 5 ans de la construction de X nouveau réacteurs.
      Temps de construction 15 ans ! On ne sait pas faire à moins (expérience les derniers construits il y a 20 ans les 4 du plaier N4 ont déjà mis 15 ans et nos EPR également. Les deux chinois ont mis 9 ans au lieu de 4 en travaillant à un rythme que l’on ne sait pas faire en France. L’expérience du délai c’est 15 ans. Nous voici rendu à 2042 (si tout se passe comme prévu)
      Nous devons les amortir sur au moins 50 ans (certains parlent de 60 mais jouons la moins exigeante, disons 50), nous sommes en 2092
      Réserves d’uranium accessible selon EIA et les sites de géologie 3 300 000 tonnes d’uranium. Consommation actuelle 68500 tonnes par an, toujours selon EIA . Pour la division je fais confiance à ma calculette et je trouve 48 ans…. donc fin de la partie en 2070 !
      On a bien fait de virer les ingénieurs qui ne savent pas compter ou qui croient aux miracles !
      Pour la solution renouvelable il n’y a pas besoin de miracles, mais simplement de technologies que l’on maitrise déjà et qui ne peuvent que s’améliorer car la mine à exploiter est éternelle (à l’échelle de la civilisation humaine) et n’est donc pas une contrainte. Je ne garde que les ingénieurs qui peuvent faire progresser ces technologies et je forme massivement notre jeunesse à ces domaines. La physique nucléaire rejoins le pelotton des recherches améliorant la culture humaine sans lui demander de fournir quoi que ce soit d’autre.
      Fin d’arguments, il n’y en n’a pas besoin d’autres.

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    • Dubus:  » Même si le pape SR l’a dit ! Quelle référence vs avez ! »
      « Très bonne réponse sur les réseaux et l’interconnexion ! Vs êtes comme les autres ! »
      et bien d’autres « phrases » de ce genre.
      Cessez vos incivilités… elles ne vous rendent pas plus intéressant.

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    • Les coûts du nucléaire prévus dans le rapport RTE (65 euros le MWh), sont très bas par rapport aux standards internationaux (120 euros le MWh)… Le coût direct des ENR est sans doute aussi sous-estimé.
      D’où un effort de sobriété largement sous-estimé pour ne pas passer pour des écolos extrémistes.
      Qui peut croire que ce rapport de RTE ne relève pas en grande partie du marketing politique ?

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      • Qu’il s’agisse de RTE. Ou de n’importe quelle source il ne s’agit toujours que de convictions donc du bla bla sans intérêt
        Ce qui a de la valeur issu de RTE ou toute autres sources ce sont les chiffres dans leur contexte comme ils savent les donner. Avec eco2mix par exemple ou d’autres stats toutes aussi valables. Le reste ne traduit que la propagande dépendant des convictions de l’auteur qu’il écrive sous le chapeau d’un organisme ou à titre personnel.
        La vérité c’est celle que l’on peut approcher sur la foi des chiffres en laissant de côté toute conviction préalable… Pour autant que l’on en soit capable.

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  • Les 3,3 millions de tonnes d’uranium de Rochain constituent un trésor précieux.
    Cela fait 23 000 tonnes d’uranium 235.
    Certes tout n’est pas consommé par les réacteurs, mais il y a compensation par l(autoconsommation qu’ils font d’une part du plutonium qu’ils produisent.
    1 kg d’U235 donne 24 millions de kWh de chaleur, soit 8 millions de kWh d’électricité.
    En brûlant du méthane à 60% de rendement, on a la même chose en brûlant 900 tonnes de gaz.
    Qui donnent 2500 tonnes de CO².
    Donc 1 tonne d’U235 équivaut à l’économie de 2,5 millions de tonnes de CO², donc 23 000 tonnes d’U235 économisent 108 gigatonnes de CO².
    Ceci dans le scénario le plus pessimiste d’approvisionnement et de jamais-surgénération et de jamais-thorium.

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